Dans le magasin d'électroménager où il travaille, Eliott est un vendeur peu performant qui peine à vendre des frigos et à gagner assez d'argent pour offrir une bague à Émilie, la jeune et belle vendeuse qu'il rêve de demander en mariage[3],[4].
Un jour, Kamel, vendeur dans le même magasin, montre à ses collègues comment gagner facilement de l'argent sur un site spécialisé en données qui rachète d'anciennes adresses mail pour quelques centaines d'euros[3].
Le soir, Eliott se connecte au site VETAM (Vends Ton Adresse Mail) et propose à la vente l'adresse mail qui était la sienne quand il avait 11 ans. Mais un bug informatique se produit[5],[6] et ce n'est pas VETAM qui lui répond mais le petit Eliott de 11 ans, propriétaire de l'ancienne adresse mail : Eliott commence alors à communiquer avec l'enfant qu'il était en 2001[3].
Quand il réalise que l'enfant lui parle le , soit le jour de l'accident qui a rendu sa sœur handicapée, Eliott décide d'influer sur le passé pour changer le cours des choses et éviter à Olivia de passer le reste de sa vie en fauteuil roulant[3],[4].
Mais changer le passé n'est pas sans risques[3],[5],[6], et Eliott va l'apprendre à ses dépens.
Elle est réalisée par Frank Bellocq, qui avait révélé Kev Adams dans la série Soda et qui l'a mis en scène dans le film Happy Nous Year[12].
La série consacre le retour au petit écran de Kev Adams qui s'était exclusivement consacré au cinéma depuis 2015, après la fin de la série Soda[10].
Kev Adams annonce pour cette série « un ton qu'on n'a jamais vu sur TF1 »[8]. Le magazine Première annonce de son côté la série comme « Quelque part entre Vortex, la récente série de France 2 avec Tomer Sisley, L'Effet Papillon (avec Ashton Kutcher) et Fréquence interdite (avec Denis Quaid) »[12].
Attribution des rôles
Kev Adams explique comme suit à Jean-Marc Verdrel, du site Coulisses.tv, son implication dans le projet « L'auteur principal, Daive Cohen, murissait cette idée depuis des années. J'avais déjà eu la chance de travailler avec lui sur différents films : Les nouvelles aventures d'Aladin, Love Addict… Quand il m'a parlé d'Avenir, j'ai été immédiatement séduit. J'ai trouvé l'idée surprenante et peu habituelle à la télévision française. J'avais absolument envie d'en être. Je n'avais plus tourné dans une série depuis Soda et ce projet, mélangeant différents genres, était idéal pour revenir sur le petit écran. Participer à l'écriture et à la création de cet univers et des personnages a été un vrai bonheur. Il a fallu du temps pour trouver le ton juste mais ce travail a été très instructif. Prendre part à chaque étape de ce projet et le voir grandir petit à petit m'a donné encore plus de plaisir à jouer. Je suis très fier de cette série »[13].
Quand Jean-Marc Verdrel lui demande s'il a participé au casting, l'acteur répond « Même si c'est le réalisateur, Frank Bellocq, qui a fait le choix final, j'ai pu suggérer des noms. J'étais très emballé quand il m'a dit ceux auxquels il pensait. Je suis un grand fan de Guillaume de Tonquédec, d'Eric Elmosnino et de Natacha Lindinger. Bénéficier de ce casting très prestigieux, à faire pâlir des films de cinéma, est une grande fierté »[13].
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
Le magazineTélé 7 jours estime que la série est moderne et portée par des comédiens talentueux[4].
Pour l'hebdomadaire Télé Star, cette série propose « un Retour vers le futur à la sauce française qui est appétissant »[4].
Le magazineTélé 2 semaines donne 2 étoiles à la série et souligne « une intrigue prenante et un casting intéressant »[4].
De son côté, l'hebdomadaire Télécâble Sat Hebdo donne 3 étoiles à la série tout en trouvant « qu'un peu plus de rythme aurait été le bienvenu »[4].
Notes et références
Notes
↑Le « classement des audiences » est établi en comparant la part de marché du programme sur les 4 ans et plus avec les parts de marché des autres programmes diffusés au même moment.