Les servantes de Rachel et Léa, Bilha et Zilpa, bien que mentionnées dans le texte biblique comme mères biologiques de plusieurs des enfants de Jacob, ne sont pas comptées au nombre des matriarches car leurs enfants ont été conçus au nom de leurs maîtresses[2],[3].
Notes et références
↑Yaël Gronner-Timsit, Rachel et Léa - entre tradition et contemporanéité : représentation des deux matriarches de la Bible à la société juive contemporaine en France et en Israël, au fil du Tamuld de Babylone, du Midrach Rabba du commentaire de Rachi et du Zohar (thèse de doctorat en sociologie, Paris, École des hautes études en sciences sociales (EHESS)), , 462 p..
↑(en) Moshe Reiss et David J. Zucker, « Co-opting the Secondary Matriarchs: Bilhah, Zilpah, Tamar, and Aseneth », Biblical Interpretation, vol. 22, no 3, , p. 307–324 (DOI10.1163/15685152-00223p04).
Bibliographie
Catherine Chalier (préf. Emmanuel Levinas), Les matriarches : Sarah, Rébecca, Rachel et Léa, Paris, Éditions du Cerf, , 3e éd. (1re éd. 1985), 224 p. (ISBN2-204-02344-2).
(en) Alvan Kaunfer, « Who knows four? The imahot in Rabbinic Judaism », Judaism, vol. 44, no 1, , p. 94-99 (lire en ligne).
Gérard Leroy et Monique Brémond, Des matriarches et de quelques prophètes de l'Ancien Testament, Paris, L'Harmattan, , 106 p. (ISBN978-2-343-01193-6).
(en) David J. Zucker et Moshe Reiss, The Matriarchs of Genesis : seven women, five views, Eugene (Oregon), Wipf & Stock, , XIII-267 p. (ISBN9781625643964).