26 janvier : attentats du FLN dans trois cafés d’Alger, « La Cafétéria », « l’Otomatic » et le « Coq hardi » (5 tués et 34 blessés)[30].
28 janvier : grève générale de 8 jours décidée par le FLN afin d’alerter l’opinion publique internationale au moment où s’ouvre le débat sur l’Algérie à l’ONU ; elle est brisée par l’armée française[30].
10 - 14 mars : voyage privé du général de Gaulle au Sahara[34] où il visite les installations pétrolières à l’invitation du ministre résident Robert Lacoste qu’il félicite pour son action.
3 juin : l’attentat des lampadaires fait 9 morts et 89 blessés à Alger[37].
9 juin : à Alger, un attentat revendiqué par le FLN au casino de la Corniche fait 8 morts. Les obsèques de ses victimes donnent lieu à des « ratonnades » de représailles le lendemain[37].
1er septembre : pour la première fois, les troupes françaises entrent en Tunisie afin de capturer les rebelles algériens. Le gouvernement tunisien proteste[42].
15 septembre : achèvement de la « ligne Morice » barrage électrifié face à la Tunisie, en même temps que la ligne Pedron à la frontière marocaine[43].
8-9 octobre : le plastiquage de la cache d’Ali la Pointe par le commandant Guiraud marque la fin de la bataille d’Alger[44]. Mort de Ali la Pointe, Hassiba Ben Bouali, du petit Omar et de 17 autres habitants[45]. Au lendemain de la bataille d’Alger, le capitaine français Paul-Alain Léger infiltre la wilaya d'Amirouche ; la « bleuite », opération d’infiltration et d’intoxication à grande échelle montée par les services secrets français, atteint ses objectifs et entraîne des purges internes meurtrières au sein de la wilaya III, qui touchent des militants FLN fidèles considérés comme traîtres (1957-1959)[46].
24 février : un journaliste du New York Times, Herbert Matthews, publie une série d’articles sur les rebelles cubains conduits par Fidel Castro et Che Guevara[48]. Le régime corrompu de Batista commence à perdre ses appuis internationaux et s’en trouve affaibli. Castro compte s’assurer un sanctuaire en zone rurale et attendre les révoltes urbaines, mais le « Mouvement du 26-Juillet » fait peu d’émules auprès des paysans. Le « manifeste de la Sierra Maestra » signé le 12 juillet[49], qui réclame la démocratie, des élections libres, la liberté de la presse et de terres pour les paysans, ne change rien.
10 mai : chute du dictateur Gustavo Rojas Pinilla en Colombie, face à la grève générale déclenchée le 6 mai, remplacé par une junte militaire. Les libéraux et les conservateurs négocient un partage du pouvoir (pacte de Benidorm). Ils parviennent à s’accorder sur une stricte répartition des postes gouvernementaux, à tous les niveaux, et avec une alternance au pouvoir, pour une période de 16 ans (4 mandats). L’idée, qui consiste à éliminer les sources d’affrontement en supprimant toute possibilité d’exclusion d’un parti du pouvoir, est adoptée par référendum le 1er décembre et le le régime du Front national est inauguré[50].
6 juin[51], Bolivie : réunion à La Paz du deuxième congrès de la COB (Central Obrera Boliviana) qui décide une grève générale pour obtenir une juste compensation salariale aux mesures monétaires (le mot d’ordre est finalement annulé)[52]. Une agitation sociale chronique affecte autant les activités minières que les campagnes entre 1957 et 1964[53].
11-13 juin : formation d'une junte patriotique au Venezuela. À la suite d'une crise économique et fiscale, l’État est presque en faillite. Les élites conservatrices se joignent à l’opposition pour réclamer le départ du dictateur Marcos Pérez Jiménez. Les partis d’opposition (parti communiste, AD, COPEI, URD(es)) décident de former une junte patriotique, qui diffuse à Caracas plus de 200 000 tracts pour renverser le dictateur (29 juin)[54]. Les trois partis non communistes se mettent secrètement d’accord à New York en décembre pour exclure les communistes du pouvoir en dépit de leur participation à la résistance[55].
12 janvier : le 4e congrès du Sangkum adopte une résolution proclamant la neutralité du Cambodge[63].
21 février, Indonésie : dans un discours, Soekarno introduit une forme de gouvernement plus autoritariste, une démocratie à l’indonésienne. Le PNI, le PKI et la centrale syndicale SOBSI(en) le soutiennent. Les partis musulmans et Hatta sont hostiles, car le système implique la participation des communistes au gouvernement[64].
14 mars, Indonésie : le gouvernement Sastroamidjojo démissionne. Soekarno impose la loi martiale, qui donne des pouvoirs accrus au chef d’état-major, le général Nasution. Suwirdjo, du PNI, forme un nouveau cabinet le lendemain[61].
8 avril, Indonésie : après l’échec de Suwirdjo, un ministère extraparlementaire est créé par le Dr Djuanda qui reprend le programme de Soekarno du [68]. Le conseil national est créé et malgré la multiplication des attentats, le président Soekarno poursuit sa politique « d’union nationale ».
8 juin : l’éditorial du Quotidien du Peuple dénonce les « fleurs vénéneuses ». Il met un terme à la Campagne des Cent fleurs en Chine. Une campagne antidroitière commence contre ceux qui ont osé émettre des critiques qualifiés de « droitiers » ; 550 000 intellectuels sont envoyés dans des camps de travail[66].
17 septembre, Thaïlande : le gouvernement Phibun est renversé lors d’un coup d’État militaire mené par le maréchal Sarit Thanarat, commandant en chef des forces armées thaïlandaises. Le 21 septembrePote Sarasin, ambassadeur des États-Unis, est nommé brièvement premier ministre[75].
18 novembre : investiture du gouvernement d’union nationale au Laos à la suite d'une entente entre le Gouvernement royal et le Pathet Lao. Souvanna Phouma, premier ministre du Laos. Souphanouvong (communiste), ministre du Plan[70]. Entre 1957 et 1961, les gouvernements de coalition se succèdent au Laos à un rythme rapide, et la lutte entre les trois factions ennemies (communiste, neutraliste, pro-américaine) s’intensifie.
29 novembre : affaire de l’Irian ; la résolution de l’ONU invitant les Néerlandais et les Indonésiens à reprendre les négociations sur le statut de l’Irian n’obtient pas la majorité des deux tiers[77].
30 novembre, Indonésie : un attentat vise Soekarno[77]. En riposte, le « Comité pour la libération de l’Irian » déclenche le 2 décembre une grève générale. Plus de 50 000 ressortissants néerlandais sont rapatriés le 6 décembre[78]. Les entreprises occupées par les travailleurs et les plantations qui étaient des propriétés néerlandaises sont placées sous le contrôle du gouvernement de Jakarta. Le gouvernement multiplie des démarches pour se procurer à l’étranger des armes et des navires pour mettre fin au monopole de fait des sociétés néerlandaises de navigation.
11 février : l’Union soviétique réagit à la « doctrine Eisenhower » par le plan Chepilov. Il prévoit la résolution pacifique des conflits, la non-ingérence dans les affaires intérieures des pays arabes, la suppression des alliances militaires et des livraisons d’armes. Il propose une neutralisation de la région avec une zone d’influence soviétique[83]. Les États-Unis refusent.
13 mars : le traité d’alliance entre la Jordanie et la Grande-Bretagne est dénoncé[85]. La Syrie, l’Égypte et l’Arabie saoudite s’engagent à subvenir aux besoins financiers du royaume (accords du Caire du 19 janvier[80]). Quand le gouvernement à tendance nationaliste arabe présidé par Suleiman al-Nabulsi propose une fédération avec la Syrie et l’Égypte et l’établissement de relations diplomatiques avec l’Union soviétique, le roi Hussein renvoie le gouvernement (10 avril)[80].
13 avril, Jordanie : les forces pro-nassériennes, soutenues par les officiers palestiniens de l’armée jordanienne, répliquent au renvoi du gouvernement al-Nabulsi par une insurrection populaire. Le roi rétablit l’ordre grâce aux troupes loyalistes[85].
3 juin : le conseil de l’unité économique arabe met en place l’Accord sur l’unité économique arabe, qui entre en vigueur le (embryon du GAFTA)[86].
3-6 juin : troisième session du conseil des ministres du pacte de Bagdad réunie à Karachi ; les États-Unis sont admis au sein du Comité militaire du pacte de Bagdad. Les pays arabes, à l’exception de l’Égypte et de la Syrie, se rallient à la « doctrine Eisenhower »[87].
8 juin, Irak : le Premier ministre Nouri Saïd démissionne. Les gouvernements suivants maintiennent une orientation pro-occidentale[88].
9, 16, 23 et 30 juin : au Liban, le parti de Chamoun remporte les élections grâce à un découpage électoral qui permet d’éliminer une partie des chefs de l’opposition pro-nassériens[89]. Un vote permettant la réélection du chef de l’État est envisagé.
6 août : accord de principe de coopération économique et technique soviéto-syrien[91] (signé à Damas le 28 octobre, ratifié à Moscou le 20 décembre[92]). En réponse, la CIA prépare le plan Wappen visant à renverser le régime syrien qui échoue lamentablement. Plusieurs diplomates américains sont expulsés de Syrie (13 août)[93].
Septembre : alors que des troupes turques sont massées à la frontière syrienne à l’invitation des États-Unis, l’URSS annonce qu’elle défendra la Syrie. Les 25 et 27 septembre, l’Arabie saoudite tente une médiation auprès de Damas sans consulter Nasser. En réponse, l’Égypte débarque des troupes à Lattaquié, en Syrie le 13 octobre. Deux unités de la flotte russe les rejoignent, et une division de l’Armée rouge avance à la frontière soviéto-turque. Les États-Unis font machine arrière[94].
18 novembre : les Parlements syriens et égyptiens approuvent le projet d’union entre les deux pays[95].
20 novembre : le dirigeant palestinien Hajj Amin al-Husseini demande le rattachement de la Palestine à la future République arabe unie. Nasser refuse car il ne souhaite pas voir la création d’une autorité palestinienne dans le règlement de la question israélo-arabe[96].
16-19 décembre : échec de la tentative de faire entrer Israël dans l’OTAN au sommet de Paris. Au lendemain de Suez, David Ben Gourion se lance dans une stratégie « périphérique » consistant à desserrer l’étau que les États arabes voisins d’Israël font peser sur ce dernier. Il noue des alliances avec la Turquie, l’Éthiopie, voire le Soudan. Ce rapprochement permet des politiques de déstabilisation politiques conjointe dans les pays arabes, comme le soutien apporté aux Kurdes d’Irak par Israël et l’Iran.
26 décembre : conférence afro-asiatique du Caire[97]. Réaffirmation des principes de Bandung. Il est décidé que l’Union soviétique fasse partie du Conseil permanent ().
13 janvier : la grève devient un délit passible de la peine de mort en Hongrie[98]. La répression des insurgés se poursuit de 1957 à 1958 avec la déportation de centaines d’entre eux en Union soviétique. Imre Nagy et bon nombre de ses partisans sont exécutés (1958). Au total, 341 condamnés à mort sont exécutés par pendaison, 22 000 personnes sont condamnées à des peines de prison, 13 000 sont envoyées en camps de travail[99].
11 mai : appel soviétique aux États-Unis et au Royaume-Uni pour la cessation des essais nucléaires. L’Union soviétique demande la convocation d’une conférence au sommet, la suspension des essais nucléaires, la renonciation à l’emploi des armes nucléaires, la création d’une zone dénucléarisée en Europe et la signature d’un pacte de non-agression. Les États-Unis proposent en août la suspension des essais pour deux ans assortie d’un contrôle de la production d’armes nucléaires[103].
2 juillet : le comité central roumain expulse le ministre de l’enseignement Miron Constantinescu qui avait pris des mesures libérales dans le domaine de la culture et vis-à-vis des minorités. Iosif Chișinevschi est expulsé du Bureau politique[104].
5 octobre, Yougoslavie : Milovan Djilas, ancien compagnon de Tito, voit sa peine de prison aggravée pour avoir fait publier aux États-Unis son livre La Nouvelle classe dans lequel il dénonce la création dans les pays communistes d’une nouvelle classe dirigeante bureaucratique[107].
3 novembre : lancement de Spoutnik 2, le deuxième satellite artificiel envoyé en orbite, avec à son bord la chienne Laïka[4].
14-16 novembre : conférence des douze partis communistes au pouvoir à Moscou[108]. Le communiqué final, que la délégation yougoslave refuse de signer, affirme l’unité de vues sur toutes les questions examinées et dénonce le révisionnisme, « plus menaçant que jamais »[109].
29 juillet : signature à Berlin d’une déclaration au terme de laquelle les gouvernements des États-Unis, de la France, de la République fédérale d’Allemagne, et du Royaume-Uni affirment l’identité de leurs politiques relatives à la réunification de l’Allemagne et à la sécurité européenne[121].
2 novembre : J. B. Priestley publie un article dans le New Statesman, Britain and the Nuclear Bombs[128]. La Campagne pour le désarmement nucléaire (Campaign for Nuclear Disarmament, CND) est lancée par les milieux pacifistes au Royaume-Uni, l’aile gauche du parti travailliste et un certain nombre d’intellectuels engagés, présidée par l’écrivain Bertrand Russell.
19 décembre : clôture à Paris de la première conférence au sommet de l’OTAN. Les chefs de gouvernement réaffirment les principes et les buts de l’Alliance atlantique[129]. Les pays européens acceptent l’installation sur leur territoire de bases de fusées américaines.
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