Le canal d'Auné, d'une longueur totale de 12,9 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve-de-Rivière et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Estancarbon, après avoir traversé 3 communes[10].
Le Jô, d'une longueur totale de 17,3 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Lestelle-de-Saint-Martory, après avoir traversé 7 communes[11].
Le Lanedon, d'une longueur totale de 10,8 km, prend sa source dans la commune de Ponlat-Taillebourg et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Noue à Saint-Ignan, après avoir traversé 7 communes[12].
Le Soumès, d'une longueur totale de 17,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Beauchalot, après avoir traversé 6 communes[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 852 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Clarac à 8 km à vol d'oiseau[16], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 804,9 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[26] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[27] et les « prairies humides et milieux riverains de la vallée du Jô » (468 ha), couvrant 7 communes du département[28]
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[26] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[29].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Gaudens est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Gaudens[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est ville-centre[Note 6],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est la commune-centre[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (40,3 %), zones urbanisées (24,5 %), prairies (14,4 %), forêts (9,2 %), terres arables (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), eaux continentales[Note 8] (1 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal d'Auné, le Soumès, le Jô et le Lanedon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999, 2007, 2009, 2013 et 2018[33],[31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 642 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 642 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1994, 2003, 2012, 2016, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[31].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[36].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Gaudens est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[38].
Toponymie
Le lieu se nomme Mansus dans l'Antiquité romaine, référant au manse, domaine agricole, avant de s'appeler Mans par diminution lexicale. Il s'est potentiellement développé sur un ancien manse celtibère, les Celtes fonctionnant par fermes éparses à peine réunies en hameaux et pagi.
Mais juste avant le catholicisme, la ville se nommait Bans[39], une évolution phonétique à relier possiblement au titre de Ban germanique du fait de l'implantation wisigothique.
Le nom change avec le catholicisme, et devient Mas-Saint-Pierre[40], revenant à l'idée de manse (Mansus, Mans, Mas).
Avec la canonisation catholique de Gaudens par les Francs conquérants, la ville prend son nom actuel. En gascon alors, devenir local du latin relié à l'euskara, le nom de la commune est Sent Gaudenç.
D’origine latine, Gaudens signifie « l’homme qui détient la parole ». Il est aussi dérivé de Gaudentius qui veut dire « joie »[41].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-d'Unité[42].
Histoire
Dans l'antiquité, une voie romaine reliant Toulouse à Dax passe à proximité du site actuel de la ville, où se trouve un domaine rural.
En 475 le lieu accueille la sépulture d'un martyr : Gaudens, jeune garçon décapité par les Wisigoths. Une communauté religieuse se crée alors en son nom. Une église et un monastère sont construits vers le VIIIe siècle, les religieux suivant les règles de vie de saint Chrodegand.
Le bourg prend son nom actuel au IXe siècle, en raison du culte qui s'est développé autour du martyr, et au moment où ses reliques sont déposées en l'église du Mas-Saint-Pierre. Au XIe siècle, la communauté religieuse se donne le statut de chapitre collégial. L'église est reconstruite à cette époque, en s'inspirant de la basilique Saint-Sernin de Toulouse et elle devient une collégiale.
En 1212 puis en 1216, la ville accueille les croisés de Simon IV de Montfort. Le XIIIe siècle est une période où la cité devient une place marchande. L'absence de fortifications se fait sentir et des défenses sont érigées (sous la forme de murailles et de fossés, avec deux portes).
Le papeClément V, ancien évêque du Comminges, rend visite à la ville le et reconnaît dans une bulle du le caractère authentique des reliques, tout en accordant de nombreuses indulgences pour encourager les pèlerinages au sanctuaire.
Le XIVe siècle et le XVe siècle sont marqués par une crise économique - qui demeure encore aujourd’hui - assez profonde en raison de guerres (guerre civile, guerre étrangère). La ville subit ensuite les outrages dus aux guerres de religion, malgré les travaux entrepris pour compléter ses défenses au XVIe siècle (une seconde enceinte munie de cinq portes est construite à la suite de la croissance des faubourgs hors les murs) : le , la ville est prise par les huguenots menés par le comte de Montgommery. Les archives de la ville sont incendiées, l'église et le marché sont saccagés et pillés. Une partie des reliques est cependant sauvée en étant mise à l'abri dans une église voisine. L'arrivée du maréchal de Matignon permet aux catholiques de reprendre la ville peu après.
Saint-Gaudens est annexée au domaine royal en 1607 par Henri IV. Le , les reliques du saint reprennent leur place initiale à la collégiale. Cette date reste celle de la fête patronale de la cité, toujours célébrée de nos jours.
Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, le chapitre reprend de l'ampleur, jusqu'à la Révolution : il est alors supprimé et ses archives sont détruites pour l'essentiel.
En 1945, l'acte de libération de la ville est signé par le Dr Pierre Ollé, directeur de la clinique Ferran et chef de la Résistance locale, qui accepte dans la foulée de diriger la ville.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[48],[Note 11].
En 2022, la commune comptait 11 869 habitants[Note 12], en évolution de +3,83 % par rapport à 2016 (Haute-Garonne : +8,02 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
L'agglomération compte, en 2018, (à périmètre identique) 16 090 habitants contre 13 494 habitants au recensement de 2009. Cette évolution positive est encourageante puisque le déclin était continu depuis 1975 (14 707 habitants). Elle se compose de 4 communes : Saint-Gaudens (11 604 habitants), Valentine (878 habitants), Miramont-de-Comminges (773 habitants) et Estancarbon (608 habitants).
L'aire urbaine (40 communes) est la seconde de haute Garonne passe quant à elle de 25 474 habitants en 1999 à 30 387 habitants en 2018. Le déclin industriel des trente dernières années est désormais compensé par le dynamisme de la métropole toulousaine toute proche, dont l'essor notamment le long de l'A64 ne cesse de progresser vers le sud. La seconde raison est liée au désenclavement du Comminges.
Enseignement
L'éducation est assurée sur la commune de Saint-Gaudens par les écoles élémentaires, des lycées, des formations post Bac (BTS) et universitaires avec le Campus Connecté, en passant par le collège un centre de formation des apprentis agricoles et un centre du GRETA.
École Maternelle des Olympiades.
Groupes Scolaires des Caussades, des Gavastous, du Pilat et de la Résidence.
Centre hospitalier, Imagerie par Résonance Magnétique (IRM), téléchirurgie, centre médico social, centre intercommunal d’action sociale, école d'infirmières, école d'aides soignantes.
Marcel Tarrès (Marcel Tarrès-Sala), dit l'Aigle des montagnes, né le à Saint-Gaudens, a été un autre coureur automobile de 1976 à 1994, remportant onze championnats de France de courses de côtes entre 1982 et 1993, deux en Belgique en 1977 et 1978, et également trois championnats de France de sport prototype (Coupe Alfa), en 1991, 1993, et 1994[56].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 6 291 personnes, parmi lesquelles on compte 69,8 % d'actifs (56,2 % ayant un emploi et 13,6 % de chômeurs) et 30,2 % d'inactifs[Note 15],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
Sur ces 3 630 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 383 travaillent dans la commune, soit 66 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 74,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 16 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
1 299 établissements[Note 16] sont implantés à Saint-Gaudens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 17],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
1 299
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
108
8,3 %
(5,7 %)
Construction
138
10,6 %
(12 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
395
30,4 %
(25,9 %)
Information et communication
27
2,1 %
(4,1 %)
Activités financières et d'assurance
79
6,1 %
(3,8 %)
Activités immobilières
53
4,1 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
183
14,1 %
(19,8 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
223
17,2 %
(16,6 %)
Autres activités de services
93
7,2 %
(7,9 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,4 % du nombre total d'établissements de la commune (395 sur les 1299 entreprises implantées à Saint-Gaudens), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[58] :
Fibre Excellence Saint-Gaudens SAS, fabrication de pâte à papier (156 982 k€)
Maison Jucla, commerce de gros (commerce interentreprises) de viandes de boucherie (46 775 k€)
Soc Exploitation Bois Du Sud Ouest - Sebso, exploitation forestière (23 208 k€)
Cassagne Electricité Et Travaux Publics, construction de réseaux électriques et de télécommunications (10 896 k€)
Fibre Excellence Energie SAS, production d'électricité (10 782 k€)
Le Saint-Gaudinois draine des flux économiques du sud de la Haute-Garonne, une activité industrielle est présente.
Papeterie : cette usine de fabrication de pâte à papier fut construite à la fin des années 1950 avec des capitaux américains dans le cadre du plan Marshall. L’usine de Saint-Gaudens produit plusieurs types de pâte à papier : pâte de feuillus mélangés, pâtes spéciales, pâtes de résineux. La « Cellulose d’Aquitaine » a appartenu au canadien Tembec. Elle est détenue depuis 2010 par la société canadienne Paper Excellence(en) et a pour nom « Fibre Excellence Saint-Gaudens ».
Fabricant de capsules de surbouchage pour l'industrie du vin : Janson Industrie
La commune est dans « La Rivière », une petite région agricole localisée dans le sud du département de la Haute-Garonne, constituant la partie piémont au relief plus doux que les Pyrénées centrales la bordant au sud et où la vallée de la Garonne s’élargit[59]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 133 lors du recensement agricole de 1988[Note 20] à 67 en 2000 puis à 30 en 2010[61] et enfin à 33 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 75 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[62],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 118 ha en 1988 à 1 326 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 40 ha[61].
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac[63].
La Chapelle Saint-Jacques, centre d'art contemporain. Attenante au couvent des Dames religieuses de Notre-Dame de Nevers, elle est donnée à la ville de Saint-Gaudens en 1991 et désacralisée pour créer un lieu consacré à l'art contemporain[72]. En 2019, elle obtient le label Centre d'art contemporain d'intérêt national[73].
Robert Davezies (1923-2007), prêtre, chercheur en mathématiques, militant de l'indépendance algérienne et des causes tiers-mondistes, en Afrique et en Amérique latine.
René Maheu (1905-1975), philosophe, sixième directeur général de l'UNESCO de 1961 à 1974.
Jacques Borel (1925-2002), romancier et poète, prix Goncourt 1965, a vécu ses dix premières années à Saint-Gaudens, ville qu'il évoque à plusieurs reprises dans son œuvre sous le nom de Mazerme.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Gaudens, il y a une ville-centre et six communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[44].
↑Président du Comité local de Libération de 1944 à 1945.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[60].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Suppléant de Carole Delga, il remplace cette dernière du 4 juillet 2014 au 17 juillet 2015 à la suite de sa nomination au gouvernement Valls. Puis, en 2017, il est élu député. En mars 2018, il est réélu à la suite d'une élection législative partielle.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.