Saint-Hilaire se trouve à vol d'oiseau à 12,4 km à l'est de Cambrai, à 6,8 km au nord de Caudry et à 21,1 km au sud de Valenciennes. La capitale régionale, Lille, est à 55,9 km[2].
Le territoire offre un aspect très légèrement vallonné. Le village est au centre des terres, sur une pente descendant d'ouest en est vers l'Erclin, un petit affluent de rive droite de l'Escaut. Le riot Collet, aujourd'hui ordinairement à sec, descend au sud du village vers l'Erclin[3].
La route départementale D942 (Cambrai - Solesmes - Le Quesnoy) passe en limite nord. La route départementale D45 (Caudry-Denain) traverse l'agglomération.
L'Erclin, d'une longueur de 34 km, prend sa source dans la commune de Maurois et se jette dans l'Escaut canalisée à Thun-Saint-Martin, après avoir traversé 16 communes[6].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 21 km à vol d'oiseau[10], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Hilaire-lez-Cambrai est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Hilaire-lez-Cambrai[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[16]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (74 %), zones urbanisées (13,6 %), prairies (12,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Un Hilaire étant le saint protecteur du village, celui-ci a pris son nom. On le trouve mentionné sous les noms de Sanctus Hilarius du XIe au XIIIe siècle, Saint-Lare en 1293, Saint-Hilaire en 1309[21].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Bon-Air[22].
En 1894, la terminaison lez-Cambrai est ajoutée au nom de Saint-Hilaire[22], la même année où la commune homonyme de l'Avesnois devient Saint-Hilaire-sur-Helpe.
Histoire
Moyen Âge
En 1064, lors de la fondation de l'abbaye de Saint-Sépulcre à Cambrai, l'évêque-comte du Cambrésis la dote de « la villa de Saint-Hilaire, avec l'église et l'autel ». C'est la première mention écrite du village.
À cette date il y a depuis un certain temps, à Saint-Hilaire, une famille noble qui tient son fief de la maison de Crèvecœur. Sa ferme seigneuriale se situe sur le rang sud de la future grand place, avec des terres attenantes en direction de Quiévy, alors que la ferme de l'abbaye se situe à une centaine de mètres, près de l'église, avec des terres attenantes en direction du nord-ouest.
L'abbaye revendique la seigneurie du lieu. Elle vaincra les oppositions au prix de pressions et de procédures. En 1319, les Saint-Hilaire qui avaient gardé la mairie héréditaire, la lui cèdent. Les biens des branches cadettes se morcellent au fur et à mesure qu'elles se ramifient. Au milieu du XIVe siècle, Robert de Saint-Hilaire perd le fief principal, faute d'honorer une dette qu'il avait garantie sur sa seigneurie. Dès lors la seule seigneurie notable des Saint-Hilaire s'exerce sur la moitié des anciennes terres de Robert ; le seigneur en est son parent qui tenait ce fief de lui, et qui le tient désormais du chapitre de la cathédrale de Cambrai. À la fin du XVe siècle, l'héritier de cette seigneurie imite les nombreux Saint-Hilaire qui avaient émigré au cours du Moyen Âge, et, avec lui, le nom de la famille disparaît au village. Le fief devient la propriété de plusieurs familles successives jusqu'à la Révolution. L'une d'entre elles lui vaut le nom de « fief de Bogny ». Aux XVIe et XVIIe siècles, l'abbaye engage des procédures contre les seigneurs de Bogny qui contestent sa seigneurie sur les abords de leur ferme-manoir. L'abbaye a aussi plusieurs fois à lutter avec une autre abbaye de Cambrai, l'abbaye Saint-Aubert, pour faire prévaloir ses droits ou sa seigneurie sur certaines terres ou certaines maisons du village. Peu avant la Révolution, elle engage aussi une procédure contre la communauté qui se montrait contestataire.
Ce sont les bans de l'abbé qui ont régi la vie communautaire jusqu'à la Révolution, et c'est sa justice qui s'est exercée.
Dépendant de la ville épiscopale de Cambrai, Saint-Hilaire a longtemps vécu du travail de la batiste (notamment pour fabriquer des mouchoirs), appelé la mulquinerie. Les habitants avaient souvent une double occupation : l'agriculture et le tissage. Les mulquiniers possédaient leurs métiers à tisser dans leurs caves (conditions idéales pour la batiste).
Il s'agit d'un exemple intéressant de la proto-industrie rurale, orientée sur des produits de luxe à forte valeur ajoutée.
Époque contemporaine
À la Révolution, les biens d'église étaient progressivement devenus considérables, atteignant à peu près la moitié du terroir. À ceux de l'abbaye de Saint-Sépulcre, s'ajoutaient ceux de l'abbaye Saint-Aubert, du chapitre de la cathédrale de Cambrai, de l'église de Saint-Hilaire et des pauvres. Pratiquement tous, ainsi que les biens de Bogny disparurent morcelés en biens nationaux.
Pendant la Révolution, le village vécut des heures difficiles lors du passage des Autrichiens en 1794. Après l'Empire, il connut l'occupation russe.
À la fin du XIXe siècle, on démolit l'ancienne église fortifiée qui menaçait ruine. On rebâtit la nouvelle à la même place mais orientée en sens inverse.
Le , des combats eurent lieu dans l'agglomération : une unité de la cavalerie Von der Marwitz massacra une compagnie de territoriaux sarthois qui reculait depuis Valenciennes. Les Allemands y perdirent aussi de nombreux hommes, dont l'aristocrate Alfred zu Dohna. Le village fut occupé pendant la Grande Guerre ; le , sa population dut évacuer vers le nord-est. Cette évacuation fit de nombreuses victimes, la plupart à cause de l'épidémie de grippe espagnole. Pendant ce temps, le village fut repris par les Scots Guards le .
En 1939-1940, le 6e cuirassiers cantonna longuement au village, nouant des liens durables avec la population.
Politique et administration
Administration municipale
La commune comptant entre 1 500 habitants et 2 500 habitants en 2008, le nombre de conseillers municipaux est de 19. Depuis 2014, le maire est Maurice Defaux. Saint-Hilaire est membre de la Communauté de communes du Caudrésis-Catésis, qui comprend 46 communes et 65 874 habitants en 2014.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].
En 2022, la commune comptait 1 557 habitants[Note 8], en évolution de −4,48 % par rapport à 2016 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 762 hommes pour 813 femmes, soit un taux de 51,62 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,8
90 ou +
2,3
5,9
75-89 ans
11,3
16,5
60-74 ans
17,5
22,8
45-59 ans
17,6
18,4
30-44 ans
18,5
15,2
15-29 ans
15,1
20,3
0-14 ans
17,7
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[28]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,4
5,3
75-89 ans
8,1
14,8
60-74 ans
16,2
19,1
45-59 ans
18,4
19,5
30-44 ans
18,7
20,7
15-29 ans
19,1
20,2
0-14 ans
18
Enseignement
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Cultes
Les Hilairiens disposent d'un lieu de culte catholique : l'église Saint-Hilaire. Cette église dépend de la paroisse « Bienheureux Carl en Cambrésis » rattachée à l'archidiocèse de Cambrai[29].
Économie
Revenus et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 25 157 €, ce qui plaçait Saint-Hilaire-lez-Cambrai au 24 587e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[30].
Population active et emploi
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Entreprises
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Ferme de l'Abbaye de Saint-Sépulcre à Saint-Hilaire en Cambrésis. L'abbaye était à Cambrai et des bâtiments de sa cense à Saint-Hilaire dont il reste la maison d'habitation du censier. Ce dernier étant presque toujours nommé mayeur de la communauté, la maison servait pour les plaids de la justice de l'abbaye. Elle se trouve à l'entrée du terre-plein de l'église[31].
Le moulin dit de Quiévy est l'ancien moulin banal de la cense de l'abbaye.
La chapelle Notre-Dame-de-Pitié située Route de Quiévy.
Personnalités liées à la commune
Jules Margerin (1837-1920), médecin et entrepreneur en électricité, fils de François Margerin (1797-1863), fabricant de batiste et maire de Saint-Hilaire-lez-Cambrai (1837).
Fernand Leprette né le à Saint-Hilaire-lez-Cambrai, écrivain et intellectuel français s'étant illustré dans la vie littéraire et artistique francophone d'Égypte.
Marceau Méresse (1905-1992), aviateur français, est né le à Saint-Hilaire-lez-Cambrai[32].
Héraldique
Les armes de Saint-Hilaire-lez-Cambrai se blasonnent ainsi :
Cyrille Thelliez, « Terre et seigneurie de l'abbaye Saint-Sépulcre à Saint-Hilaire-en-Cambrésis », publié dans le tome 67 des Mémoires de la Société d'émulation de Cambrai ; le même tiré à part, imprimerie Henry Lefebvre, Cambrai 1912, 364 pages ; le tiré à part est réédité chez Hachette Livre BNF, 1/06/2013. Se lit en ligne sur Gallica[Comment ?].
Cyrille Thelliez, « La tuerie de Saint-Hilaire », publié dans la revue cambrésienne Sous leur griffe, .
Maximilian Von Poseck, Die deutsche Kavallerie 1914 in Belgien und Frankreich, Verlag von E G Mittler & Sohn, Berlin, 1922. Les pages 53–54 de cet ouvrage proposent le seul témoignage militaire sur les combats de Saint-Hilaire du . Une traduction en anglais a été éditée en 1923. Réédition récente (Europäischer Hochschulverlag, 2011). Se lit en ligne[Comment ?].
Fernand Leprette, « Dans un village du Nord », première partie du recueil poétique Chansons de Béhéra, Le Caire, 1935, évoque la jeunesse hilairienne de l'auteur ; le premier chapitre du roman Le Mauvais Infirmier, éd. Horus, Le Caire, 1941, est consacré aux jours précédant la mobilisation de 1914 au village. Nombreuses mentions rapides de Saint-Hilaire dans la plupart des autres œuvres de l'auteur.
Aristide Caron, Notes sur le patois parlé dans dix villages du Cambrésis, Lille, 1950.
C Thelliez et L. Cotton, Contribution à l'histoire du Cambrésis : le village de Saint-Hilaire-lez-Cambrai de l'an 1064 à l'an 1950, 421 pages, imprimerie Lefebvre Lévêque et Cie, Douai, 1951.
Gérard Leducq, Le Patois de Saint-Hilaire-lez-Cambrai, mémoire de géographie linguistique, faculté des lettres de Grenoble, 20 exemplaires édités par l'auteur, 1968.
Gérard Leducq, articles dans la revue Linguistique picarde, musée de Picardie, Amiens : « Patronymes et surnoms à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », no 55, , ; « Noms de lieux à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », no 57, ; « De la naissance aux premiers pas à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », no 62, ; « Les travaux du ménage et l'entretien du linge (Saint-Hilaire-lez-Cambrai) », no 76, .
Gérard Leducq, « Vocabulaire de la vie agricole à Saint-Hilaire-lez-Cambrai », article dans la revue Jadis en Cambrésis, no 7 de et no 11 d'.
Christian Lepie, « Une histoire d'amour pendant la « drôle de guerre » entre le 6e cuirassiers et le village de Saint-Hilaire-lez-Cambrai » (-) : article dans la revue Cambrésis terre d'histoire no 12 de et no 13 de .
Pierre et Colette Lebecq, « Saint-Hilaire : Monsieur de l'arrière face à la justice », article dans la revue Jadis en Cambrésis, no 70 de et no 71 de .
Maurice Delacourte, articles dans la revue Jadis en Cambrésis : « En souvenir de ma mère », no 105 de ; « Le père Baptiste », no 107 de .
Saint-Hilaire-lez-Cambrai, Acu publishing, broché 140 pages, .
Jean-Marie Bérard, « De Saint-Hilaire-lez-Cambrai à Masnières : les Millet », dans la revue Cambrésis terre d'histoire no 63 de .
Jean Doffe, « À la mémoire de Marceau Méresse », article dans la revue Farda no 60 de (Groupe des généalogistes amateurs du Cambrésis).
Gérard Leducq, « Les combats de la cavalerie von der Marwitz le en Cambrésis », dans la revue Cambrésis terre d'histoire no 64 d', et no 65 de (les combats de Saint-Hilaire sont détaillés dans le no 65).
Gérard Leducq, « 1914-1918, Saint-Hilaire-lez-Cambrai, un village allemand », tome 113 des Mémoires de la Société d'émulation de Cambrai (année 2013), 270 pages ; l'ouvrage comporte une annexe de 40 pages sur l'histoire du village en dehors de la période de la guerre).
Louis Boniface, Étude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne).
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Hilaire-lez-Cambrai comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
↑Simon Herlem : fait fonction de maire en période de municipalité cantonale
↑Henri Lorriaux : remplacé, pendant sa mobilisation par Arsène Richez démis en novembre 1915 par les Allemands, puis par Hilarion Aublin démissionnaire en mars 1917, puis par Henri Millet.
↑Gustave Jacquemin : remplacé pendant sa clandestinité (1942-1945) par Henri Millet.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
↑Cyrille Thelliez, Terre et seigneurie de l'abbaye de Saint-Sépulcre à Saint-Hilaire-en-Cambrésis : contribution à l'histoire du Cambrésis, vol. 1, Cambrai, Impr. de H. Lefebvre (Cambrai), , 364 p. (lire en ligne).