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Goès

Goès
Goès
Le château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Didier Loustau
2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64245
Démographie
Population
municipale
545 hab. (2021 en évolution de −10,66 % par rapport à 2015)
Densité 114 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 00″ nord, 0° 34′ 59″ ouest
Altitude Min. 227 m
Max. 363 m
Superficie 4,76 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Oloron-Sainte-Marie
(banlieue)
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Goès

Goès [ɡɔɛs] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Goèsien[1].

Géographie

Localisation

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Goès se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 1,8 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Précilhon (1,0 km), Oloron-Sainte-Marie (1,3 km), Estos (1,9 km), Bidos (2,6 km), Ledeuix (3,0 km), Escout (3,5 km), Estialescq (4,0 km), Agnos (4,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Goès fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Estialescq, Monein, Oloron-Sainte-Marie et Précilhon.

Communes limitrophes de Goès[7]
Monein
Oloron-Sainte-Marie Goès Estialescq
Précilhon

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Goès.

La commune est drainée par l'Auronce, l'Escou, la Lèze, le Laberou, le ruisseau des Bers, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Auronce, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune de Lasseube et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Saucède, après avoir traversé 10 communes[9].

L'Escou, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Buzy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Estos, après avoir traversé 9 communes[10].

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 223 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 2 km à vol d'oiseau[14], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[19],[Carte 2] :

  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[20] ;
  • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[21].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (20 986,16 ha), couvrant 23 communes du département[23].

Urbanisme

Typologie

Au , Goès est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Oloron-Sainte-Marie[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 7],[25],[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune du pôle principal[Note 8],[2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,6 %), forêts (20,5 %), terres arables (17,1 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (6,6 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

  • Faget ;
  • Village.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Goès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Escou et l'Auronce. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 2008 et 2009[31],[29].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Goès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[32]. 82,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[33].

Toponymie

Le toponyme Goès apparaît[34] sous les formes Guoes (1267, cartulaire d'Oloron[35]), Agoes, Sent Joan de Goues (1434, notaires d'Oloron[36]), Goez (1729, dénombrement de Goès[37]) et Gouex (1736, dénombrement d'Estos[37]).

Selon Michel Grosclaude et en tenant compte de l'évolution du nom, ce toponyme relève du latin aquaria, l'endroit où il y a de l'eau (sources, bassins, fontaines). En béarnais classique, le nom s'écrit : Güèrs.

Histoire

Paul Raymond[34] note qu'en 1385, Goès comptait 18 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Jean Wacker    
2001 2008 Jean Wacker    
2008 2014 Didier Loustau    
2014 En cours Didier Loustau    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

La commune fait partie de cinq structures intercommunales[38] :

Goès accueille le siège du syndicat de regroupement pédagogique de Goès-Estialescq ainsi que du syndicat intercommunal pour l’assainissement de l’Escou.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 545 habitants[Note 10], en évolution de −10,66 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
421384360393428410440477479
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
420404388361370349332303313
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
305322310285298359383378394
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
482648668575574543554554562
2015 2020 2021 - - - - - -
610552545------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie.

Économie

L'activité est principalement agricole (polyculture, élevage, pâturages, vigne). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Le parc de loisirs AquaBéarn (lac et attractions aquatiques) est située sur la commune, au hameau du Faget de Goès.

Revenus de la population et fiscalité

En 2011, le revenu médian par ménage était de 30 182€, ce qui plaçait Goès au 15 519 rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[43].

Culture locale et patrimoine

Galerie

Patrimoine religieux

L'église Saint-Jean-Baptiste[44] date du XIXe siècle.

La chapelle du hameau du Faget fut édifiée en 1965.

Un des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, actuellement présenté comme GR653, traverse la commune de Goès, entre Lacommande et Oloron-Sainte-Marie.

Patrimoine civil

Équipements

Le centre équestre de Goès est implanté autour du château, il dispose d'un manège et de deux carrières.

Le parc aquatique Aqua Béarn est implanté au bord du lac du Faget.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Oloron-Sainte-Marie comprend une ville-centre et huit communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Goès » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Goès », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Goès », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Goès ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Goès et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Goès et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Goès », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Goès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Auronce ».
  10. Sandre, « l'Escou ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Goès et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Goès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Goès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « Unité urbaine 2020 d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Goès », sur Géorisques (consulté le ).
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  33. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  34. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  35. Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  36. Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. a et b Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2011 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  44. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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