Liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française
La liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française comprend des familles françaises toujours représentées de nos jours et qui, avant la Révolution française de 1789, appartenaient sous l'Ancien régime à la bourgeoisie, définie par les historiens comme étant alors un groupe social de familles notables appartenant au Tiers état, c'est-à-dire jouissant du privilège du profit contrairement à la noblesse[1], et assurant leur aisance financière en occupant notamment des offices moyens ou supérieurs de magistrature (bourgeoisie administrative ou bourgeoisie de robe), des offices de finance (bourgeoisie financière), des activités de commerce (bourgeoisie marchande) ou exploitant un patrimoine foncier immobilier ou industriel (bourgeoisie propriétaire)[2],[3].
On peut noter que dans une autre acception que celle définissant sous l’Ancien Régime une élite selon des critères de réussite sociale et financière, la bourgeoisie est aussi sous l’Ancien Régime un statut juridique donnant à certains citadins, en plus de leur privilège de profit[1], des droits distincts de ceux des autres habitants et des privilèges variables selon les villes. Ces droits de bourgeoisie disparaissent peu à peu aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle[4].
Cette liste ne préjuge pas de l'appartenance ou non de ces familles à la bourgeoisie actuelle.
Cette liste exclut les familles d'ancienne bourgeoisie s'étant agrégées à la noblesse, ayant bénéficié d'un anoblissement ou ayant reçu un titre nobiliaire français, régulier et héréditaire (avant ou après la Révolution française), mais non les familles subsistantes issues d'une branche non anoblie ou non titrée.
Cette liste n'est pas exhaustive car elle ne retient que les familles (ou l'un de ses membres) qui font l'objet d'un article sur Wikipédia.
Les critères d'éligibilité pour figurer sur cette liste figurent ci-dessous.
Pour figurer sur cette liste, les familles doivent remplir les critères suivants :
au moins un membre de la famille doit disposer d'un article sur Wikipédia où la filiation vers un ancêtre répondant au critère de notabilité ci-dessous est indiqué ;
la famille doit satisfaire à l'une des fonctions mentionnées dans la section Critères de notabilité sous l'Ancien régime, établie par une source secondaire ;
le lien vers la notice Wikipédia mentionné ci-dessus doit renvoyer en note vers l'une des sources bibliographiques figurant ci-dessous au titre d'une source secondaire.
Critères de notabilité
La présence d'un membre de la famille dont les armes sont enregistrées dans l' Armorial général de France de 1696 est un indice de bourgeoisie sous l'Ancien Régime ainsi que mention d'un aïeul dans l' État de la France ou l' Almanach royal ou la présence d'un membre au sein d'une académie royale ou célèbre.
Les « familles d'ancienne bourgeoisie française », ou « familles françaises notables anciennes », se reconnaissent principalement par les charges ou fonctions occupées par leurs ascendants agnatiques avant 1789. Une étude de l'ouvrage d'André DelavenneRecueil généalogique de la bourgeoisie ancienne publié en 1954, permet un approche non exhaustive des professions et activités des chefs de famille[394]. On peut notamment y trouver les professions, charges ou activités suivantes :
Propriétaire foncier
Patron d'une chapelle ou d'une chapellenie, ou tombeau notable, dans une église urbaine
Bâtisseur ou propriétaire d'un hôtel urbain important
Propriétaire d'une terre noble (seigneurie) ou d'un château notable
Propriétaire terrien rentier outre-mer d'un domaine ou plantation
Propriétaire important d'un ou de plusieurs hauts fourneaux, de mines, de moulins à martinet ou de presse à papier, à huile, à foulon, de filatures, ou de manufactures notables.
Charges de judicature royales
Avocat, procureur du roi,
Bailli de robe longue, sénéchal,
Notaire royal, notaire au Châtelet
Avocat, procureur, conseiller, président, lieutenant au Bailliage, Sénéchal, Siège présidial ou au Parlement,
Conseiller à la Cour des aides, des monnaies, à la Chambre des comptes
Charges de judicature seigneuriales ou municipales
Procureur fiscal
Notaire seigneurial
Viguier
Capitaine d'un château, colonel des milices d'un bourg
Fermier des recettes ou intendant d'une terre titrée, d'une abbaye
Charges fiscales et financières royales
Fermier général
Receveur général des tailles, des capitations
Receveur général des dimes, des décimes
Receveur, officier au grenier à sel
Receveur, contrôleur des traites foraines, et autres droits de douane
Trésorier-payeur des rentes, des gages
Contrôleur, commissaire ordinaire des guerres
Fonctions militaires
Officier dans l'armée, la marine, des Maréchaux
Commissaire aux revues
Autres charges et fonctions royales
Intendant, subdélégué de l'intendant
Officier (serviteur) du roi, de la reine, des princes
Marchand suivant la cour
Architecte, ingénieur du roi, des bâtiments du roi
Libraire, imprimeur, géographe, historiographe du roi, garde de la bibliothèque du roi
Médecin du roi, des princes, des Pages ou des Gardes du corps du roi, ou plusieurs générations de médecins
Charges électives
Député du Tiers-état aux États généraux de 1789
Maire d'une ville grande ou moyenne (équivalent d'une actuelle sous-préfecture)
Premiers échevins ou consuls d'une ville grande ou moyenne (idem)
Fonctions commerciales et industrielles
Armateur de navires de commerce océanique
Banquier
Négociant (d'une surface significative)
Maitre verrier, de forges, directeur de manufacture royale
Fonctions relevant du Clergé
Évêque (avoir eu un frère qui a été)
Abbé d'une abbaye, supérieure d'un couvent (avoir eu un frère qui a été)
Chanoine d'un chapitre notable (avoir eu un frère qui a été)
Notaire apostolique
Recteur d'université (avoir eu un frère qui a été)
Professeur agrégé dans une faculté de médecine ou des droits, docteur en Sorbonne
Études diverses
Dans un Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne[395] publié en 1954, André Delavenne a constitué une liste de familles de la bourgeoisie de son époque, qu'il jugeait suffisamment anciennes pour figurer dans son ouvrage. Contrairement à ce que peut laisser supposer le titre, il ne s'agit pas d'un inventaire à prétention exhaustive, mais d'un choix de quelques dizaines d'exemples, avec certaines familles dont l'ascension sociale ne remonte qu'au XIXe siècle.
En étudiant ces familles dans La Bourgeoisie selon le dictionnaire généalogique d'André Delavenne, Jacques Houdaille a remarqué qu'elles occupaient souvent avant la Révolution des professions et des positions similaires[396] : « À la période ancienne, les maires et échevins sont nombreux ainsi que les officiers du roi. Les gens de loi (avocats, juges, huissier) maintiennent leur importance au cours des deux siècles et plus. Les industriels apparaissent au début du XIXe siècle et prennent de l'importance dans la seconde moitié. »
Dans son essai L'Ancienne bourgeoisie en France : Émergence et permanence d'un groupe social du XVIe siècle au XXe siècle, publié en 2013, Xavier Pérouse de Montclos fait l'hypothèse qu'un grand nombre des familles bourgeoises du XXe siècle ont une position établie depuis fort longtemps — et souvent maintenue depuis le XVIe siècle[397]. Cet auteur ne propose cependant pas de liste des familles notables anciennes. Dans la préface, l'historien René Rémond définit ainsi cette ancienne bourgeoisie :
« Un groupe intermédiaire entre la noblesse d'origine et ce qu'on appellerait les classes moyennes, qui est constitué au XVe siècle ou au XVIe siècle. (...) Ces familles sont presque toutes des dynasties provinciales dont l'ascension s'est tout entière accomplie dans leur région d'origine à laquelle elles sont généralement restées fidèles : aujourd'hui encore leurs descendants y sont présents. (...) Ces familles plongent leurs racines dans l'Ancien Régime. (...) Elles ont su assurer sur quatre ou cinq cents ans la transmission de leur héritage matériel comme de leur patrimoine de conviction et de valeur.(...) Ces familles sont toujours restées fidèles à la religion et se sont adaptées à la modernisation sans renier leurs valeurs. »
Selon Xavier de Montclos, ces familles appartenaient sous l'Ancien Régime à la notabilité des villes et des campagnes[397]. Elles acquirent à partir du XVIIe siècle des offices et des charges de judicature ou de finances puis des seigneuries, et certaines parvinrent à la noblesse, soit avant, soit après la Révolution au cours de laquelle beaucoup jouèrent un rôle majeur.
Recueils de familles
L'Armorial général de France a recensé la plupart des individus nobles ou notables de France vers 1696 ; il existe des index pour l'ensemble et des éditions critiques des armoriaux régionaux.
Plusieurs ouvrages de sociologie familiale ont été publiés au milieu du XXe siècle, notamment le Dictionnaire des dynasties bourgeoises et du monde des affaires en 1975 par Henry Coston.
Quant aux ouvrages généraux, on mentionnera le Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle de Gustave Chaix d'Est-Ange, suivi d'une riche bibliographie citant de nombreux ouvrages régionaux ou spécialisés.
Aux XXe siècle et XXIe siècle on retrouve le nom de certaines familles de l'ancienne bourgeoisie dans des annuaires comme le Bottin mondain et dans les listes des membres de cercles à vocation élitiste[398].
Notes et références
Notes
↑Plusieurs juges-châtelains et maires de Saint-Galmier sous l'Ancien Régime et la Restauration, un député au XXe siècle
↑Gérard de Heinzelin de Braucourt, décédé en 1686, gentilhomme verrier à Aubréville
↑Isabelle Paresys, Anne Conchon et Bruno Maës, Dictionnaire de l'Ancien Régime, Armand Colin, (lire en ligne).
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t. I, p. 6-7.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, « Abel de Libran », dans Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. XXI, Évreux, FAB-FEI, (lire en ligne), p. 314-.
↑Jean-Louis Ruchaud, Généalogies limousines et marchoises, tome XI, Éditions Régionales de l'Ouest, 2002 ([PDF] lire en ligne).
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 1, Évreux, C. Hérissey, , 416 p. (lire en ligne), p. 287-288, « Arcimolles (d')»
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, C. Hérissey, Évreux, tome I, A-ATT, 1903, p. 297 (lire en ligne)
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd.Sedopols, 2012, p. 61
↑André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, SGAF, 1954, p. 24 à 27.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. t.2, Aub-Bar, Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p. 46-47.
↑J. Alcide Geourgel, Armorial des familles de Lorraine titrées ou confirmées dans leurs titres au XIXe siècle, 1882, p. 72 à 77 [1]
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.73
↑Oeuvres poétiques d'Etienne Azéma, avec une notice biographique et littéraire par F. Cazamian, Ernest Leroux Editeur, Paris, 1877, p3 [2].
↑Jean-Claude Hermans, Le chien dans les fables, Société des écrivains, 2011, p.293.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 2e Aub-Bar, C.Hérissey, Evreux, 1904, pp.169 à 170 Babin-Chevaye.
↑Joël Rilat, Ces messieurs de Nantes et leurs alliances, Additif au tome 3 - A-Do, « Généalogie Babin-Chevaye » Lulu.com, pp.43 à 50 (lire en ligne).
↑Charondas, Le Cahier noir, édition Patrice du Puy, 2015, sans pagination. Famille issue de Pierre Courcol et qui donna des bourgeois et des échevins à la ville d'Arras. La famille actuelle est issue de Pasquier Courcol, fermier de l'abbaye d'Estrien. Les Courcol ont acheté la terre de Bailliencourt au XVIe siècle et ne se rattachent pas à l'ancienne famille noble de Bailliencourt.
↑Descendance d'Etienne-Antoine Barbier de Saint-Hilaire (1748-1830), procureur puis commissaire-priseur au Châtelet de Paris et marchand de bois, élu représentant du district des Enfants trouvés Saint-Antoine à la Commune de Paris en 1789, in Sigismond Lacroix, Actes de la Commune de Paris pendant la Révolution, tome II, Cerf, 1895, p.689 (lire en ligne).
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. Tome II Aub-Bar, Évreux, C. Hérissey, (lire en ligne), p. 316-317.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.82.
↑Descendance de Nicolas-Joseph de Bayser (1705-1777), bourgeois de Lille et maître-écrivain, in Serge Dormard, Lille au XVIIIe siècle : Une histoire financière, Presses Universitaires du Septentrion, 2024, p. 270.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sedopols, 2012, p.673.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. III. Bas-Ber., Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p. 129.
↑Descendance agnatique de Jean Beau (1672-1754), maître drapier à Fulvy, et de Françoise Hugot (1680-1755)
↑Bulletin n° 17 de la Société Généalogique de l'Yonne, 1986
↑Bulletin de l'Association des anciens honneurs héréditaires, n° 31, 1989.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome III Bas-Ber, C. Hérissey, Evreux, 1904, p.255 (lire en ligne).
↑Marie-Emilie Vaxelaire, Les Beligné, une dynastie de couteliers 1610-2010, Imp. de Champagne, Langres, 2010.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 4, Evreux, Charles Hérissay impr., (lire en ligne)
↑Descendance de Thomas Bertran (1731-1794), docteur en droit, avocat et bourgeois de Perpignan, in Georges Bonet, « Histoire d'une famille roussillonnaise : les Bonet de Banyuls dels Aspres », in Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, tome 105, n°204, Généalogies méridionales, 1993, p.535(27) (lire en ligne)
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 4, page 155 Bès de Berc et d'Albaret de Saint-Just.
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↑Descendance d'Antoine Bied-Charreton (1712-1774), maître donneur d'eau aux soieries et bourgeois de Lyon en 1756, in Le Mémorial de Lyon en 1793. Vie, mort et famille des victimes lyonnaises de la Révolution, tome IV, « André Barraud, fusillé le 28 novembre 1793, Michel Pitiot, fusillé le 4 janvier 1794, Joseph Bied-Charreton, fusillé le 5 décembre 1793 », Éditions lyonnaises d'Art et d'Histoire, 1988, 388 pages.
↑Frédéric Barbier et Jean-Pierre Daviet, Le patronat du Nord sous le Second Empire: une approche prosopographique, Droz, 1989, p.96.
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↑Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels de familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d’origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650. Volume 6, J. Floch, (lire en ligne), p. 63-66
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.143.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p. 145.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, 2012, p. 147.
↑Notice « Bourdeau de Fontenay », in Ludovic de Magny, Le Nobiliaire universel de France. Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe, Xe volume, Archives de la noblesse, Imp. Caron Fils, Amiens, 1868.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 6, C. Hérissey, Evreux, 1907, pp.159-160 (lire en ligne).
↑Branche aînée des Bourrée, marquis de Corberon éteinte au XXe siècle, un rameau anobli en 1670 par la charge de secrétaire du Roi, maintenu dans sa noblesse en 1697, éteint au XVIIIe siècle. La famille s'appelle désormais Bourée à l'état-civil.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t. VI, Ch. Hérissey, Évreux, pp.396-399.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 6, C.Hérissey, Evreux, 1907, pp.192-193 (lire en ligne).
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, ed. Sedopols, 2012, p.149.
↑André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Bureau de la Publication, 1885, p.320 (lire en ligne)
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VII Bré-Bur, C. Hérissey, Evreux, pp. 108-109 (lire en ligne).
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VII Bré-Bur, C. Hérissey, Evreux, 1908, p.316.
↑Henri Frotier de La Messelière, Filiations Bretonnes, Prudhomme, Saint-Brieuc, 1912, tome I, pp.450-451.
↑<Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 7, Evreux, C. Hérissey, (lire en ligne), p. 361.
↑René Kerviler Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, tome 7 Brou-Carn, J.Plihon et L.Hervé, Rennes, 1894, pp.115-116 (lire en ligne).
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, 2012, pp.168-169.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.169.
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↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 7, pages 404 à 405 Burin du Buisson, d'Ayssard, des Roziers.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, C. Hérissey, Évreux, tome VIII, Bus-Cas, 1908, pp.148-149 (lire en ligne).
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↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-nobiliaire français, Sedopols, 2002, page 126.
↑L.J. Camille Ricquebourg, Dictionnaire généalogique des familles de l'île Bourbon (La Réunion): 1665-1810. L.J. C. Ricquebourg, 1983.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, volume VIII Bus-Cas, C.Hérissey, Evreux, 1909, p.350 (lire en ligne)
↑Revue de Pau et du Béarn, Société des Sciences, Lettres et Arts de Pau et du Béarn, 2002, p.110.
↑Philippe Barbet, Les Castillon du Perron, De la Touraine à la Charente, de Nantes à Bordeaux: une dynastie de négociants, Ed. Christian, Paris, 2004, 395 pages.
↑Eric Bungener Filiations protestantes, I, France tome I, Éditions familiales, 1996,
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↑Sans principe d'anoblissement connu, la famille du Chalard a toutefois porté des qualificatifs de noblesse aux XVIIe et XVIIIe siècles, in Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 9 (lire en ligne), p.217-218.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. IX. Cas-Cha. - 1910 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange], 1903-1929 (lire en ligne)
↑Pierre-Marie DioudonnatEncyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence, volumes 1 à 2, Sedopols, 1994.
↑Émile Ruben et Louis Guibert, Registres consulaires de la ville de Limoges, Limoges, Imprimerie Chapoulaud frères, 1884, t. III, p. 113 et 190 Consuls de Limoges.
↑Jean-René Chevillotte (1771-1843), fils de Jacques Chevillotte (1728-1809), marchand, et frère de Simon Chevillotte (1754-1821), notaire royal à Quarré-les-Tombes en 1787, s'établit en 1793 à Brest comme négociant puis armateur, in Etudes d'histoire maritime, « Arrivée de Jean-René Chevillotte à Brest », Documentation Française, 1984, p.122.
↑Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels des familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d'origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650, volume 6, J. Floch, 1976, pp. 107-109.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 10, pages 360 à 362. Chodron d'Orly et de Courcel
↑Au fil d'Illies, revue de la société historique d'Illies, n°32, avril 2017, pp.4 à 6 lire en ligne.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p.218.
↑« Claude Cointreau, né à Baugé en 1623, Maître Particulier des Eaux et Forêts de Baugé, receveur général des Finances de Limoges, [...] fut un grand bienfaiteur de la ville et [...] l'ancêtre de la famille des distillateurs si renommés d'Angers » (Edmond Riehl, Dix siècles de l'histoire de Baugé, impr. E. Cingla, 1960, p. 67.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XI, C. Hérissey, Evreux, page 214 (lire en ligne).
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p.225.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XI, C. Hérissey, Evreux, pp.367-368 (lire en ligne).
↑Alain Clouet, Lucien Arman. Un constructeur de navires à Bordeaux au XIXe siècle, 2021 (lire en ligne)
↑Hubert Courau, Courau : histoires, portraits de famille (1627-1977), 1977, 317 p.
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↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p. 240.
↑André Lelarge, Paul-Louis Courier, Parisien : Origine et fortune de sa famille, l’attentat du Duc d’Olonne, la naissance et l’enfance de Paul-Louis, recherches sur sa maison natale et ses domiciles à Paris. Lettres et documents inédits suivis d’un essai bibliographique, Paris, Presses universitaires de France, , 307 p. (lire en ligne sur Gallica).
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p. 244.
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. tome XII. Cos-Cum., Évreux, C. Hérissey, (lire en ligne), p. 294-296
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 13, pages 48 à 49 Dalamel
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 13, Cun-Des, C.Hérissey, Evreux, 1914, pp.51-52 (lire en ligne).
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↑Gustave Chaix d’Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XIII, C. Hérissey, Evreux, 1914, p.265 (lire en ligne).
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p. 261.
↑William Poidebard, Notes héraldiques & généalogiques concernant les pays de Lyonnais, Forez & Beaujolais, Société des bibliophiles lyonnais, 1896, p.67.
↑Jacques Vincent, Essai généalogique de la famille Denavit, Bibliothèque Généalogique, 2000, 32 pp.
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↑Jean Lambert-Dansette, Origines et évolution d'une bourgeoisie, E.Raoust, 1954, p.118.
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↑Léon de Schlumberger, Cartulaire de la famille Schlumberger (1769-1798), tome 3, Imp. Ernest Meiniger, Mulhouse, 1910.
↑L'ascension sociale des Schlumberger à Mulhouse est très rapide : Claus Schlumberger (1510-1557) est reçu dans la bourgeoisie de la cité sept ans après son arrivée et siège au Grand Conseil de la ville. Son fils Hans-Ulrich est élu bourgmestre au début du XVIIe siècle, agrégeant définitivement les Schlumberger aux familles patriciennes de la bourgeoisie privilégiée. Enfin, la participation des Schlumberger à la fabrication des indiennes, à l'image des Dollfus et des Koechlin, fait leur fortune au XVIIIe siècle, in Michel Hau et Nicolas Stoskopf, « Les Schlumberger de l’École centrale », Centraliens, no 603, 2010, pp.76-80 lire ici
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↑Descendance de Benoît Joseph de Tarlé (1735-1797), intendant en chef de l'Armée d'Amérique, in baron du Bessey de Contenson, La Société des Cincinnati de France et la guerre d'Amérique, 1778-1783, A. Picard, 1934, p.269.
↑Antoine de Tarlé, Les Tarlé, 1525-1939, précédés par les Idées morales d'un maréchal de camp de l'ancien régime, conseils du chevalier de Tarlé à son fils, Imp. de Souchier, Roanne, 1945.
↑Henry de Pazzis, Origine, histoire et descendance de la famille Perier. Tome III : Descendance de Claude Perier (1742-1801) et de Marie-Charlotte Pascal (1749-1821). Descendance de Marine Perier et de Camille Teisseire, Éditions régionales de l'Ouest, Mayenne, 1992.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, éd. Sedopols, 2012; p. 749.
↑Paul Tézenas du Montcel, Une famille française du XVe siècle à nos jours: Famille Tézenas du Montcel, éd. Paléo, Clermont-Ferrand, 2002.
↑J.-A. Roy. et J.-L. Dansette, « Origines et évolution d'une bourgeoisie : le patronat textile du bassin lillois (1789-1914) (suite) », in Revue du Nord, tome 41, n°161, janvier-mars 1959, p. 28 (lire en ligne).
↑Descendance de Bertrand Trolley, sieur de Prevaux, bailli civil et criminel de la haute-justice de Vassy en 1774, in Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Delesques, 1897, p.266.
↑Charles Poplimont, La France héraldique, t. II, Paris, 1873, pp. 246-247 (lire en ligne).
↑Laurent Vallery-Radot, La famille Vallery-Radot, 1575-2014, ascendances et alliances. Les familles Süe, Sauvan, Legouvé et Pasteur, Bibliothèque numérique de l'Institut Pasteur, 2014 (en ligne sur le site de l'Institut Pasteur)
↑Descendance de Claude-Ambroise Villeroy (1756-1800), licencié en droit (1759), secrétaire du Commissaire de Guerre Gabriel François Palteau (1758), directeur général des Hôpitaux Militaires de la Province des Trois Evêchés (1785), in G. de Baux et A. Ott, Les familles Noël du Lys et Villeroy, 1892 (lire en ligne).
↑Lucien Henrion et Pascal Flaus, Si les rues de Saint Nabor m'étaient contées. Contribution à l'histoire de la ville de Saint Avold, N.p., 2001, p.143.
↑Théophile Virnot, Les Virnot, Une famille bourgeoise à Lille du XVIIe au XIXe siècle, Lulu.com, 2019.
↑Charles Le Thierry d'Ennequin et Thierry Prouvost, La lignée des Virnot, quatre tomes, Lulu.com, 2021.
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, éd. Sedopols, 2012, p.793.
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Ernest Lehr, L'Alsace noble, suivie du livre d'or du patriciat de Strasbourg, Éditions du Palais Royal, 1870, p.125 (lire en ligne).
↑Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, éd. Sedopols, 2012, p. 795.
↑Mémoires de la société d'émulation de Roubaix, deuxième série, tome IV (1888), Alfred Reboux, Roubaix, 1889, p.200 (lire en ligne).
↑Jacques Houdaille, « La bourgeoisie selon le dictionnaire généalogique d'André Delavenne », Population, , p. 311-329 (lire en ligne)
↑André Delavenne (préf. le Duc de Brissac), Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, Éditions S.G.A.F., (lire en ligne)
André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, Paris, 1954
Recueils régionaux
Anjou
Bernard Mayaud, Recueils de généalogies angevines, 16 volumes, Nantes, 1981-1996
Artois
André Borel d'Hauterive, Armorial d'Artois et de Picardie : généralité d'Amiens, Paris, Dentu Libraire, 1866
Auvergne
Ambroise Tardieu, Dictionnaire des Anciennes Familles de l'Auvergne, comprenant toute la noblesse qui a résidé ou qui réside dans cette province et la plupart des vieilles maisons de bourgeoisie qui ont possédé des fiefs ou qui ont droit d'armoiries, avec les noms des représentants actuels, Moulins, Impr. Desrosiers, 1884.
J. Brun-Durand, Dictionnaire biographique et biblio-iconographique de la Drôme, contenant des notices sur toutes les personnes de ce département qui se sont fait remarquer par leurs actions ou leurs travaux avec l'indication de leurs ouvrages et de leurs portraits. Tome I - A à G. Tome II - H à Z., Grenoble, Librairie Dauphinoise, 1900, 1901. 2 volumes in-4.
Jules Villain (ill. Gaston de Jourda de Vaux), La France moderne : dictionnaire généalogique, historique et biographique, (Drôme et Ardèche), Saint-Étienne, J. Thomas & Cie, 1908.
Gustave de Rivoire de La Bâtie, Armorial de Dauphiné, contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard. Lyon, Brun (Imprimerie Louis Perrin), 1867. in-4° (réimpr. 1969 (Allier, Grenoble)).
Jean Grosdidier de Maton, Armorial Haut-Alpin : Subdélégation de Gap, d'Embrun et de Briançon, vallées cédées, mandements hauts-alpins des baronnies, du Beaumont, de l'Oisans et de la Provence, Paris, Mémoire et Document, , 650 p. (lire en ligne)
Gascogne et Guyenne
Gabriel O'Gilvy, Nobiliaire de Guienne et de Gascogne. Revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, antérieures à 1789, avec leurs généalogie et leurs armes, suivie d'un Traité héraldique sous forme de dictionnaire, Bordeaux, Paris, 1856-1883, 4 vol.
Languedoc
Hubert de Vergnette de Lamotte, Filiations languedociennes, 3 volumes, Mémodoc, Versailles, 2006
Limousin
Jean-Louis Ruchaud (dir.), Généalogies limousines et marchoises, 21 volumes, Editions Régionales de l'Ouest, 1982-2019
Lyonnais & Forez
André Steyert, Armorial général de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes, Lyon, Librairie Ancienne de Louis Brun, 1892-1893. In-4°
Ferdinand Frécon, Fonds Frecon, Dossiers bleu, XIII, Archives Départementales du Rhône, , 138 p. (lire en ligne)
Normandie
Édouard de Magny (dir.), Nobiliaire de Normandie, Caen, Librairie héraldique d'A. Aubry, 1863-1864
Gabriel O'Gilvy, Nobiliaire de Normandie, Londres, 1864.
Périgord
Gilles Le Barbier de Blignières (dir.), Généalogies périgourdines, 3 volumes, Patrice du Puy éditeur, Paris, 2014-2019
Aymar d'Arlot de Saint-Saud, Généalogies périgourdines, 4 volumes, Bergerac, 1898-1942.
Poitou
Henri Beauchet-Filleau et Charles de Chergé, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou (de A à L), Poitiers, 1909
Provence
René Borricand, Nobiliaire de Provence, armorial général de la Provence, du Comtat Venaissin et de la Principauté d'Orange, 3 volumes, Aix en Provence, Editions Borricand, 1974-1976.
Frédéric Mireur, Le tiers État à Draguignan, Draguignan, impr. de Latil frères, 1910.
Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Armorial général de la Touraine ; précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789. Tome 18, publié par la Société archéologique de Touraine, Tours, Société archéologique de Touraine, coll. « Mémoires », 1866-1867.
Velay
Gaston de Jourda de Vaux, Le nobiliaire du Velay et de l'ancien diocèse du Puy, Le Puy, 1925
Yves Durand, Les fermiers généraux au XVIIIe siècle, 1971
Xavier de Montclos, L'ancienne bourgeoisie en France, éditions A&J Picard, 2013
Mathieu Marraud, De la Ville à l'État. La bourgeoisie parisienne XVIIe – XVIIIe siècle, Paris : Albin Michel, 2009
Jean Duma (dir.), Histoires de nobles et de bourgeois. Individus, groupes, réseaux en France, XVIe – XVIIIe siècles, Paris : Presses Universitaires de Paris Ouest, 2011
Nicole Brondel, « L’Almanach royal, national, impérial : quelle vérité, quelle transparence ? (1699-1840) », dans Bibliothèque de l'École des chartes, 166/1, 2008