L'altitude de la commune varie de 83 mètres à 204 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 87 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,77 km[6].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].
La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 755 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Cyr-sur-Morin à 11 km à vol d'oiseau[12], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 814,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17] :
le « Petit Morin de Verdelot à Saint-Cyr-sur-Morin », d'une superficie de 3 589 ha, un site qui accueille la plus importante population d’Île-de-France de cuivré des marais (Lycaena dispar) et la deuxième plus importante population d’Île-de-France de sonneur à ventre jaune (Bombina variegata)[18],[19] ;
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Bellot comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1],[20],
« Le Petit Morin » (30,09 ha), couvrant 10 communes du département[21] ;
et le « Le Ru de Bellot » (49,57 ha)[22]
et un ZNIEFF de type 2[Note 2],[20],
la « vallée du Petit Morin de Verdelot à la Ferte Sous-Jouarre » (4 988,89 ha), couvrant 15 communes du département[23].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Bellot est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].
Elle est située hors unité urbaine[25]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[25]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de
380 dont 92,9 % de maisons et 6,9 % d’appartements.
Parmi ces logements, 79,4 % étaient des résidences principales, 11 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. La part des ménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 86,5 % contre 10,8 % de locataires et 2,7 % logés gratuitement[28],[Note 4].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 284lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[29] (source : le fichier Fantoir) dont Launoy Brûlé, le Grand Doucy, les Crochots, Champmartin.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (61,2% ), forêts (19,5% ), prairies (9,5% ), zones agricoles hétérogènes (8,2% ), zones urbanisées (1,6 %)[30].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[31],[32],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Belo en 1112 (Du Plessis, II, p. 21.)[34] ; Ecclesia de Beloy en 1145 (Cartulaire de Molesme, II, p. 357.)[34] ; Bello en 1325 (Auguste Longnon, II, 260.)[34] ; Bellot en Brie en 1549 (Archives nationales, Y 95, fol. 60.)[34]. Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Bellot-la-Montagne[35].
Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romane ou médiévale, dont l'élément Bel- représente peut-être une variante du bas latin betullus[36], qui a abouti à l'ancien français boul « bouleau ». Ce terme est issu du latin vulgaire betullus (latin classique betulla) d'origine gauloise. La forme de 1145 semble indiquer que la terminaison -ot représente en fait le suffixe -ETU désignant, entre autres, un ensemble d'arbres appartenant à la même espèce (cf. -ETA > -aie : chênaie, hêtraie, etc.). D'où le sens global de « lieux plantés de bouleaux »[37].
Remarque : il n'est cependant pas certain que Bel- représente effectivement cet élément, il peut s'agir également d'un ancien Berl- désignant précisément la berle, d'où Berlei, Berloi comme Bellay (Maine-et-Loire, BerlaiXVe siècle)
Histoire
L’histoire écrite de Bellot commence au début du XIIe siècle, sous le règne de Louis VI le Gros. En 1112, l’évêque de Meaux, Manassès 1er, donne aux religieux de Molesmes le produit de la dime de Bellot mais laisse sa part au curé du lieu.
En 1509, la comtesse de Vendôme, dame de la Ferté-Aucol (qui deviendra plus tard la Ferté-sous-Jouarre), Chamigny et Bellot, assiste par procuration à la coutume de Meaux.
En 1620, le seigneur de Bellot est Louis de Clèdre, cavalier et conseiller du roi. En 1698, sans doute via son épouse Louise le Maistre, le fief de Bellot passe sous l’autorité de Gilles Le Maistre. En 1732, Gilles Le Maistre vend sa seigneurie de Bellot à René de Maupéou (seigneur de Sablonnières). Sa famille conservera Bellot jusqu’à la révolution. À noter que la terre de Culoison (l’un des hameaux actuels de Bellot) constitue un fief indépendant, propriété de deux seigneurs en 1676 (Pierre du Gourdel et Charles du Buisson). Par son union avec Catherine du Gourdel, Jean-Baptiste du Buisson devient seul seigneur de Culoison en 1705. La seigneurie passe en 1724 à Messire de l’Épine, écuyer gendarme de la garde du Roi.
Jusqu’à la révolution, l’influence et l’utilité de l’Église sont considérables. En vertu de l’Ordonnance de Villers-Cotterêts (1539), elle tient les registres d’état civil en français, dispense l’éducation et perçoit tout ou partie de la dîme. (voir l’Église et la vie paroissiale).
La révolution abolit les privilèges et les droits féodaux. La dénomination du département de « Seine-et-Marne » est préférée à celle de « Brie-Et-Gâtinais » (trop proche du passé féodal). En concurrence avec Rozay-En-Brie, Melun en devient le chef-lieu par une courte majorité de 8 voix sur 475 votants[réf. nécessaire].
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41],[42].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Bellot est assurée par la communauté de communes des Deux Morin pour la collecte, le transport et la dépollution[43],[44],[45].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43],[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].
En 2021, la commune comptait 774 habitants[Note 6], en évolution de −1,4 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 115, occupant 349 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71 % contre un taux de chômage de 7,4 %.
Les 21,7 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,2 % de retraités ou préretraités et 6,3 % pour les autres inactifs[54].
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 39 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 5 dans la construction, 16 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 5 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 4 étaient relatifs aux autres activités de services[55].
En 2020, 7 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 3individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[56].
Agriculture
Bellot est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[57]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[58].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[59]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 20 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 46 ha en 1988 à 79 ha en 2010[58].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Bellot, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l’agriculture à Bellot entre 1988 et 2010.
Manoir dit château de Bellot XVIe, XVIIe et XIXe. À noter que le château dit de Bellot se trouve au Fourcheret, donc sur le territoire de la commune de Villeneuve-sur-Bellot. Cette particularité vient du fait que ce château a été construit par le seigneur de Bellot sur le fief de Nacelles qui lui appartenait et qui se trouvait en totalité sur la rive droite du Petit Morin, comprenant la majeure partie du hameau du Fourcheret dépendant de la paroisse de Villeneuve-sur-Bellot. Comme il existait alors un château (aujourd’hui disparu) à Villeneuve-sur-Bellot et qu’il n’y en avait pas à Bellot, cette nouvelle construction a pris le nom de "Château de Bellot", qu’elle possède encore. Source : Terrier de Bellot de 1758 (archives notariales de Villeneuve-sur-Bellot et archives de Seine-et-Marne).
Robert Lapoujade (1921-1993), peintre, écrivain et réalisateur, a vécu à Saincy (hameau de Bellot) où il est mort.
Jacques Ambroise Potel (1765-1859), un grand serviteur de Bellot : Né à Bellot le 10 novembre 1765, Jacques-Ambroise Potel est le fils de Louise Gautier et de Jacques Potel, cultivateur. Suivant l’exemple de son père, il est maire de Bellot pendant 44 ans. Conscient de l’importance des voies de communication pour le développement de la commune, Bellot lui doit d’être un carrefour entre les routes de la vallée du petit Morin et du plateau. Il obtient notamment :
Que la route de Rebais à Montmirail passe par le hameau de Doucy.
La commune ne disposant que de très peu de ressources propres, les emprunts consentis pour développer le réseau routier retarderont la construction de l’école du Bourg qui ne commencera qu’en 1865. Jacques-Ambroise Potel n'en verra pas la concrétisation et s’éteindra le 13 juillet 1859 à l’âge de 84 ans.[réf. nécessaire]
Héraldique
Blason
De gueules à la fontaine d'argent jaillissant d'or, posée sur un rocher isolé d'argent, surmontée d'un loup passant du même accosté de deux taus d'or.
Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Bellot », p. 1279–1280
Bellot d'hier à aujourd'hui[62], par le Comité de l’an 2000. 352 pages. Disponible en Mairie de Bellot.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑« Municipales : François Housseau se présente : La bataille électorale s’annonce animée à Bellot. François Housseau, conseiller municipal depuis 2008, a décidé de conduire une liste en mars prochain », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Jean-Michel Rochet, « Municipales 2020 à Bellot : candidat à nouveau, François Housseau répond à son opposant : Fortement attaqué par Laurent Mignard dans un document de 8 pages distribué aux habitants, le maire sortant annonce sa candidature et réplique », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Jean-Michel Rochet, « La nouvelle équipe municipale de Bellot veut « rendre son âme au village » : Littéralement gangrenée par les errances budgétaires, l'ambiance au village devrait changer », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le )« Sans difficulté et comme prévu, les 14 élus ont choisi Frédéric Morel comme maire et Christine Reignoux et Marie-Élisabeth Leroux-Saleine comme adjointes au maire (...) Le nouveau Conseil municipal ne compte que 14 membres, le 15e, François Housseau, l’ancien maire, ayant présenté sa démission le matin même de la première réunion ».
↑Comité de l'an 2000 (dir.), Mairie de Bellot, « Bellot d'hier à aujourd’hui », Bellot, commune briarde, a voulu écrire son histoire, faite de menus événements, de détails pittoresques, de personnages discrets, de scènes de vie, de tous ces petits riens qui forgent l'âme d'un village en tissant d'invisibles liens entre les habitants., Imprimerie Saint Paul, Bar Le Duc, .