Villefranche-de-Conflent est une commune rurale qui compte 207 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 889 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Prades. Ses habitants sont appelés les Villefranchois ou Villefranchoises.
Ses habitants sont les Villefranchois et les Villefranchoises.
Géographie
Localisation
Représentations cartographiques de la commune
Carte de la commune avec localisation de la mairie.
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes
Sur le plan historique et culturel, Villefranche-de-Conflent fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[4].
Communes limitrophes de Villefranche-de-Conflent[5]
Villefranche-de-Conflent a une superficie de 446 hectares. Son altitude varie de 390 à 1 395 mètres[6].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].
Hydrographie
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Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 963 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eus à 10 km à vol d'oiseau[10], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 539,8 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Un espace protégé est présent sur la commune :
le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[16],[17].
le « massif de Madres-Coronat », d'une superficie de 21 363 ha, offre une multitude de faciès de végétation avec aussi bien des garrigues supra-méditerranéennes, des pinèdes à Pin sylvestre ou à Pin à crochet, que des hêtraies pures ou des hêtraies-sapinières, des landes à Genêt purgatif ou à Rhododendron, ou encore des pelouses alpines[20] et au titre de la directive oiseaux[19]
le « massif du Madres-Coronat », d'une superficie de 21 396 ha, présente un fort intérêt écologique pour 17 espèces inscrites à l'annexe I de la directive oiseaux, dont le Gypaète barbu[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[22] :
le « plateau de Belloc et Pla des Horts » (494 ha), couvrant 3 communes du département[23] et
les « Roc Campagna et Fort Libéria » (414 ha), couvrant 3 communes du département[24]
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[22] :
le « versant sud du massif du Madres » (27 267 ha), couvrant 27 communes du département[25].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Villefranche-de-Conflent.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Vilafranca de Conflent[26].
Le nom ancien de la commune en français est Villefranche. Le nouveau nom de Villefranche-de-Conflent est adopté le [6],[27].
Urbanisme
Typologie
Au , Villefranche-de-Conflent est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Prades, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (64,8 %), forêts (30,7 %), zones urbanisées (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[31].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[32]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[33]
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].
Dans le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, le barrage des Bouillouses sur la Têt, un ouvrage de 17,5 m de hauteur construit en 1910[35].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Villefranche-de-Conflent est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[36].
Histoire
La capitale du Conflent
Villefranche est fondée par une charte octroyée par le comte de Cerdagne Guillem Ramon le [37] (ou 1090[38] ou 1092[39] selon les sources). Le comte avait alors sa résidence à Corneilla-de-Conflent et voulait faire de Villefranche sa nouvelle capitale. Le site est d'ailleurs particulièrement bien choisi : au fond du défilé de la Têt, à la confluence de celle-ci avec le Cady, la ville contrôle alors l'accès aux terres principales du Conflent[39]. La ville devient effectivement la capitale du Conflent (et siège d'une viguerie) au plus tard en 1126. Elle le reste jusqu'au XVIIIe siècle[40].
En septembre 1263, le roi d'AragonJacques Ier ordonne la construction de trois ponts sur la Têt. Ces trois constructions furent sévèrement endommagées, voire détruites, par la terrible inondation de 1421, et seul le pont Saint-Pierre fut rétabli[41].
Au cours des XIIIe siècle, XIVe siècle et XVe siècles les fortifications de la ville sont sans cesse remaniées et complétées. L'ensemble est reconstruit au XIVe siècle d'après de nouveaux plans, comme l'atteste un texte de 1411 rapportant cette reconstruction[42],[43].
La forteresse Vauban
La ville est assiégée et prise par les Français en 1654 ; les fortifications sont alors démantelées pour qu’elles ne puissent pas servir aux Espagnols. La construction de nouvelles fortifications est entreprise à partir des plans de Vauban en 1669, qui visite le chantier dix ans plus tard[44]. Le Fort Libéria est alors construit à flanc de montagne, dominant la ville au nord. Les travaux se poursuivent pendant tout le XVIIIe siècle (porte de France en 1783, porte d'Espagne en 1791)[45].
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Évolution de la population
1355
1359
1365
1378
1424
1470
1515
1553
1709
341 f
411 f
341 f
171 f
127 f
64 f
69 f
66 f
133 f
Évolution de la population, suite (1)
1720
1767
1774
1789
-
-
-
-
-
143 f
556 H
591 H
148 f
-
-
-
-
-
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN2-222-03821-9))
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50].
Note : la paroisse de Belloc semble avoir été supprimée durant le XVIIIe siècle et ses habitants dès lors recensés avec ceux de Villefranche-de-Conflent, tel que signalé en 1789.
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Sports
L'édition 2013 du Raid Centrale Paris est passée par le Fort Libéria et la ville au cours de sa deuxième étape reliant Vernet-les-Bains à Prades le 7 mai.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 132 personnes, parmi lesquelles on compte 72,5 % d'actifs (55,7 % ayant un emploi et 16,8 % de chômeurs) et 27,5 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Prades, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 141 emplois en 2018, contre 169 en 2013 et 190 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 78, soit un indicateur de concentration d'emploi de 179,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,2 %[I 11].
Sur ces 78 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 45 travaillent dans la commune, soit 58 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 55,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 19,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 21,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Dès la fondation de la ville, ou dans les années qui ont suivi, l'autorisation est donnée par l'évêque d'Elne aux habitants de procéder à la construction d'une église[59].
La partie la plus ancienne de l'édifice remonte au début XIIe siècle. L'ensemble est remanié au XIIIe siècle[60]. Puis, à la fin du XVIIe siècle lors du remodelage des fortifications de la ville, les abords de l'église paroissiale sont totalement modifiés[61].
La ville est entourée d'une enceinte de forme rectangulaire allongée, intégralement conservée. Elle présente des éléments médiévaux mêlés aux reconstructions et adjonctions des XVIIe siècle et XVIIIe siècles.
De l'époque médiévale subsiste notamment la tour du Diable, attenante à l'église (angle sud-est). Elle porte par ailleurs l'inscription « Elle fut commencée l'an 1441 et finie l'an 1454 » (inscription originale : catalan : Comensada fo lany MCCCCXXXXI he finida lany MCCCCLIIII). De plus il reste la majeure partie de la courtine sud, flanquée de deux tours semi-circulaires (du XIVe siècle, antérieures à la tour du Diable). Cette courtine et ces tours furent renforcées au XVIIe siècle par l'installation de trois bastions et d'un nouveau chemin de ronde. La première de ces tours est englobée dans le bastion de Corneilla (angle sud-est), la deuxième est quant à elle entre la tour du Diable et le bastion de la Reine (angle sud-ouest). Une troisième tour de même plan s'élève à l'angle nord-ouest, englobée dans le Bastion du Roi.
De cette période subsistent également la porte du Roussillon et la porte de France (la nouvelle porte du XVIIIe siècle a été construite à sa gauche, respectant ainsi l'édifice médiéval), de même qu'une partie de la porte ouvrant sur le Pont Saint Pierre.
Au XVIIe siècle, Vauban fait donc reconstruire et renforcer les fortifications médiévales, il fait notamment édifier un fort détaché communiquant par un souterrain. De nouveaux bastions sont édifiés (notamment ceux cités ci-dessus) : le bastion du Roi (angle nord-ouest), le bastion de la Reine (angle sud-ouest), le bastion du Dauphin (angle nord-est), le Bastion de Comellà (angle sud-est) et le bastion de la Boucherie (courtine nord, sur le pont Saint-Pierre).
À la fin du XVIIIe siècle on reconstruit la Porte de France (en 1783, sur le front est) et la Porte d'Espagne (en 1791), située à l'ouest de la ville, à l'emplacement de l'ancienne tour-porte[63],[64].
Bastion du Roi.
Bastion du Roi : tour médiévale transformée en magasin à poudre.
La tour du Diable, sur le côté sud de l'enceinte.
Bastion de Corneilla.
Courtine entre le bastion de la Montagne et le bastion de Corneilla.
Bastion de la Montagne.
Ancienne porte de France et bastion du Dauphin (à droite).
Bastion du Dauphin, et le glacis caractéristique de Vauban (aujourd'hui disparu).
La ville
Outre l'église Saint-Jacques et les fortifications, la ville possède plusieurs bâtiments dignes d'intérêt, notamment des exemples de l'architecture civile médiévale.
L'espace urbain à l'intérieur de l'enceinte est organisé autour de deux rues parallèles est-ouest : la rue Saint-Jacques au sud et la rue Saint-Jean au nord.
L'ancienne viguerie, aujourd'hui siège de l'hôtel de ville, est sise rue Saint-Jean, à l'angle avec la place de l'église. Le bâtiment remonte au XIIe siècle, de même que la tour-beffroi qui le flanque[65], surmonté par une pyramide en maçonnerie en 1623[42].
L'hôpital de Villefranche (rue Saint-Jean), fondé par Pons de Sarabeu en 1225, comporte un corps de logis remanié surmonté de merlons, et une haute tour quadrangulaire dont le sommet est surmonté de corbeaux[65].
Presque toutes les maisons remontent au Moyen Âge. La plupart ont été remaniées et présentent donc des traces, des empreintes des différentes époques. Au rez-de-chaussée, elles comportent quasiment toutes une ou plusieurs grandes arches en plein cintre. Certaines façades présentent encore des fenêtres géminées, comme la demeure sise au 75 rue Saint-Jean (deuxième moitié du XIIIe siècle) ou des fenêtres à meneaux, comme aux 24-26 rue Saint-Jean (vers 1500)[65].
Fort Libéria
Dominant la ville au nord, le fort Libéria, construit par Vauban, fait partie intégrante du système de défense de la ville. L'escalier souterrain dit « des mille marches » (en fait il n'en compte pas mille) qui le relie à la ville, au niveau du pont Saint-Pierre, n'a été bâti qu'au XIXe siècle. Entre le fort Libéria et la ville de Villefranche, on peut noter la présence de casemates Haxo.
La spécialité culinaire de la ville est la « bougnette » (ou « bunyete » en catalan) qui se présente comme une crêpe solide ou un beignet très fin et sucré[66].
Personnalités liées à la commune
Plusieurs empoisonneuses impliquées dans l'affaire des poisons, dont Anne Guesdon, la femme de chambre de la marquise de Brinvilliers, furent enfermées au fort Libéria, qui surplombe Villefranche[67].
François Boher (1769-1825) : peintre, sculpteur, écrivain né à Villefranche-de-Conflent ;
Écu en losange : d'azur à l'étoile de six rais d'argent, accostée de deux tours du même, surmontée d'un écusson en losange d'or à quatre pals de gueules timbré d'une couronne d'or, aux ondes d'argent mouvant de la pointe.
Devise
Non commovebitur
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Culture populaire
Cinéma
Film tourné en partie à Villefranche-de-Conflent :
Anie de Pous, « Villefranche-de-Conflent », dans Congrès archéologique de France. 112e session. Le Roussillon. 1954, Société française d'archéologie, Paris, 1955, p. 280-298
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑(ca + fr) Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
↑Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN2-222-03821-9).
↑ a et bMichel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN2-7399-5066-7).