Les régiments dont le numéro est supérieur à 400 sont des régiments de marche.
Création et différentes dénominations
: Constitution du 401e Régiment d'Infanterie au camp de La Courtine avec des éléments venus des dépôts des 1re et 12e Régions Militaires, en application d'une circulaire ministérielle du .
Chefs de corps durant la Grande Guerre
du au : lieutenant-colonel Jean-Antoine-Eugène Quiquandon.
du au : lieutenant-colonel Jean-Baptiste-Germain-Louis Bouchez.
du au : lieutenant-colonel Eugène-Paul-Émile-Albert Vanbremeersch.
du au : lieutenant-colonel François Canonne.
du à après : lieutenant-colonel Pierre Bornèque.
Historique des garnisons, combats et batailles du 401e RI
Octobre : Bataille de Verdun : Vaux-Chapitre, saillant de Montbrisson, tranchée de Wesel, tranchée Lecourt et de la Bavière, crête du Nez de Souville, la Sablière, ravin du Bazil, tranchées de la Carniole et de Gotha, ravin du bois Fumin ;
Juillet – août : Picardie: moulin de Tricot, parc du Frétoy, Coivrel, tranchée des Bonnets à Poils puis Le Frétoy, Vaux, Beuvraignes puis bois Marotin, Bus, bois de Bus ;
En vertu d'une prescription du Ministre de la Guerre en date du , le 401e RI n'est pas dissous à l'issue du conflit, « en remplacement du 145e Régiment d'Infanterie qui a cessé d'exister au cours de la guerre »[1] ; cette mesure est exceptionnelle.
Il est maintenu comme régiment d’active jusqu'en [2].
Il porte le surnom de Le Gaulois (source de 1920 ; 21e Corps d'armée - 43e Division - 85e brigade). Cette dénomination lui a été conférée par l'ordre no 484 du émanant du général Valentin, commandant de la 133e D.I. À la suite de la dissolution de cette grande unité, qui était surnommée La Gauloise, son chef, soucieux d'en perpétuer la renommée à travers l'un de ses anciens régiments, « remet au corps la gloire de la Gauloise en lui conférant le nom de Gaulois »[1].
Drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[3] :