Le régiment est engagé dans l'occupation de la Ruhr en janvier 1923, engageant les 1er et 2e bataillons avec l'état-major, tandis que le 3e bataillon reste à Kaiserslautern[3]. Le régiment quitte la Ruhr en mars 1923[4] puis est dissous le [5].
1938-1939, la ville de Strasbourg est intégrée au système fortifié de la Ligne Maginot. Le 172e régiment d'infanterie de forteresse occupe le secteur de Strasbourg. Le 1er régiment du génie reste en place, notamment ses électromécaniciens ; alors que s'installe l'état-major du 172e RIF sous la responsabilité du lieutenant-colonel Le Mouel. Ce dernier est secondé par le commandant Coursier, chef d'état-major, par le capitaine Charpentier, responsable des liaisons et le lieutenant Bourdeaux, du renseignement. Le service de santé est partagé par le médecin-capitaine Pierre et par le lieutenant-vétérinaire Balossier. Le sous-lieutenant Sueur est officier de transmissions. Il est également probable que le QG du 155e régiment d'artillerie de Position ait été installé dans le fort, selon le témoignage d'un artilleur de ce régiment.
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De 1945 à nos jours
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Drapeau du régiment
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[6] :
↑Auguste Édouard Hirschauer, « Annexe 2 : Notice Historique », dans Rapport fait au nom de la Commission de l'armée, chargée d'examiner le projet de loi adopté par la chambre des députés, relatif à la constitution des cadres et effectifs de l'armée, Impressions du Sénat (no 263), (lire en ligne), p. 202-203