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Il formé avec des blessés guéris et des jeunes soldats de la classe 1915 provenant principalement de la 11e région militaire (Nantes).
Création et différentes dénominations
Le : Constitution du 411e régiment d'infanterie (à trois bataillons) à la mairie de Plouharnel-Carnac avec des éléments venus des dépôts de la 11e région militaire. Les régiments dont le numéro est supérieur à 400 sont des régiments de marche.
Mobilisé au camp de Coëtquidan, il est affecté à la 305e brigade d'infanterie de la 123e division d'infanterie en . Il appartient à cette brigade puis à l'infanterie divisionnaire (ID) de la 123e DI jusqu'à .
Janvier – juin : Lorraine : ferme de Rozebois, ferme des Ervantes, forêt de Bezange. Le 411e s'illustre en particulier, le , en tant que principale force engagée (avec quelques renforts du 6e RI) dans le « coup de main des Ervantes »[1],[2],[3], à Moncel-sur-Seille. En évoquant la genèse de cette opération couronnée de succès, le général Gérard, commandant la VIIIe armée, rend hommage à la valeur du 411e : « Cette manœuvre nécessitait : 1°) Une infanterie instruite, manœuvrière et sûre d'elle-même. C'était le cas de l'infanterie de la 123e D.I., fière de ses victoires antérieures et notamment du 411e dont le haut moral permettait de tout oser »[4].
Le dernier combattant français tué pendant la Première Guerre mondiale a peut-être été un soldat du 411e, le 1re classe Auguste Renault, tombé à 10 h 58 le [6], à Robechies.
1919
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Drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[7] :
↑Général de Saint-Just, « Annexe no 400 : rapport du général de Saint-Just, commandant la 123e D.I., sur l'attaque du plateau des Ervantes (nord-est de Moncel-sur-Seille) », Les Armées françaises dans la Grande Guerre, vol. 1, t. VI, , p. 887-896 (lire en ligne).
↑« Le coup de main des Ervantes (Lorraine) », Bulletin de renseignements de l'artillerie, Paris, inspection générale de l'artillerie, , p. 27-39 (lire en ligne).
↑« Le coup de main des Ervantes (Lorraine) 20 février 1918 », La Revue d'infanterie, Charles-Lavauzelle & Cie, vol. 64, no 376, , p. 3-32 (lire en ligne).
↑Général Gérard, « Annexe no 392 : rapport du général commandant la VIIIe armée, sur les opérations exécutées le », Les Armées françaises dans la Grande Guerre, vol. 1, t. VI, , p. 867-876 (lire en ligne).
↑P. Janet, « Attaque du 411e Régiment d'infanterie le 4 novembre 1918 : deuxième bataille de Guise », La Revue d'infanterie, Charles-Lavauzelle & Cie, vol. 67, no 397, , p. 516-554 (lire en ligne)