Le régiment reçoit son numéro par décret du , en prévision de la mobilisation à Saint-Omer. Il dépend de la 1re région militaire (1er corps d'armée[1]. Il est mis sur pied dans cette ville dès la mobilisation de 1914 et est formé de quatre bataillons.
Chefs de corps
Drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[2] :
En octobre et novembre, le régiment est de retour pour la défense de Nieuport en Belgique.
1917
De janvier à mars, le 7e RIT est sur le front de la Somme, de l'Oise et de l'Aisne et combat ou remet en état routes et voies ferrées à Marquéglise, Coudun, Thourotte, Cuvilly, Rollot, Pienne, Braine, Lassigny, Chauny, Tergnier. À la suite des pertes, le régiment est désormais composé de deux bataillons.
En mai, le régiment est envoyé dans les Vosges où il est signalé à Ban-de-Sapt et Saint-Dié.
1918
En janvier, les hommes de tous grades de la classe 1898 et en dessous, sont dispersés dans différentes compagnies de chasseurs à pied.
Entre janvier et juillet, des soldats du 22e RIT, dissous, intègrent le 7e RIT en position dans les Vosges.
: le 7e régiment d’infanterie territorial est dissous et les hommes, des deux bataillons restants, sont dispersés comme pionniers parmi les régiments des 22e et 151e division d'infanterie.