Mi-mars 1871, le 38e de marche est à la division Barry de la nouvelle armée de Paris[33]. Le , il passe à la 2e division de l'armée de Versailles qui vient d'être créée pour réprimer la commune de Paris[34]. Cette armée est réorganisée le [35] et le régiment passe à la 2e division du 2e corps de l'armée de Versailles[36].
Lors des combats contre les communards, le 38e de marche entre le après-midi dans le fort d'Issy abandonné par les fédérés[36].
Il fusionne le dans le 38e régiment d'infanterie de ligne[37].
↑La guerre de 1870-71 : La défense nationale en Province, vol. 40 : Mesures générales d'organisation, Paris, R. Chapelot et Cie, (lire en ligne), p. 143.
Robert Charbonnier, Armée de La Loire. Histoire d'un régiment, , 48 p. (lire en ligne).
Jean-Baptiste Baille, Le 38e de marche à Coulmiers : rapport à monsieur le ministre de la guerre, Saint-Étienne, Théolier, (lire en ligne).
Léonce Rousset, Histoire générale de la guerre franco-allemande (1870-71) : les armées de province, Paris, Librairie illustrée, 1895-1898 (lire en ligne).
Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au 1er mars 1871 : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne).
V. Alwrod, La bataille du Mans, 10, 11 et 12 janvier 1871, Angers, G. Grassin, (lire en ligne).