Le , il rejoint la 1re brigade de la division Crémer formée à Beaune[30]. Il est renforcé le par environ 400 hommes, répartis dès leurs arrivée dans les diverses compagnies du régiment[30] : la 5e compagnie de dépôt du 4e de ligne[31] et la 7e compagnie de dépôt du 93e de ligne[32].
Le régiment est interné en Suisse le . Ses hommes sont libérés du au [33].
Après l'arrêt des combats contre les Prussiens, le 32e de marche rejoint en mars la division Susbielle de l'armée de Paris[34]. Après l'éclatement de la commune de Paris, le régiment est affecté le à la 6e division de l'armée de Versailles[35]. Il fusionne le dans le 32e régiment d'infanterie de ligne[36]. D'après l'historique écrit par le colonel Reboulet, la fusion a eu lieu par décision du [33].
Arthur Pernot, Armée de l'Est et XIVe corps allemand, Alsace, Vosges et Franche-Comté : 1870, Saint-Dié, Typographie et lithographie C. Cuny, , 121 p. (BNF34083755, lire en ligne).
Henri Genevois, « Historique du 32e régiment de marche d'infanterie », dans Les dernières Cartouches (janvier 1871). Villersexel, Héricourt, Pontarlier..., (lire en ligne), p. 329.
Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au 1er mars 1871 : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne).